Elodie Gossuin agacée par ses enfants : une partie de sa maison filmée pour dévoiler ce qu'elle ne supporte plus

On ne présente plus Elodie Gossuin. Depuis plus de vingt ans, la jolie blonde évolue sous l'oeil du grand public. D'abord connue en tant que Miss France, elle s'est rapidement fait une place dans le milieu audiovisuel, devenant animatrice à la radio et sur le petit écran. Mais lorsqu'elle ne travaille pas d'arrache-pied, Elodie Gossuin se consacre pleinement à sa vie de famille. Une vie aussi remplie et agitée que sa carrière étant donné qu'avec son mari Bertrand Lacherie, elle a accueilli deux paires de jumeaux : Jules et Rose (15 ans) ainsi que Léonard et Joséphine (10 ans).

Avec autant de monde à la maison, la reine de beauté peut alors facilement se retrouver dépassée. Et ce samedi 13 janvier, elle n'a pas hésité à ironiser sur sa situation, en découvrant le bazar que lui avait laissé son homme et ses enfants. En effet, en vidéo Instagram, Elodie Gossuin s'est filmée en train de découvrir une pile énorme de vêtements en train de traîner dans les escaliers de sa maison. Une pile que personne n'a jugé bon de ramasser, au grand dam de la célèbre maman. "Le fameux syndrome de l'escalier... C'est-à-dire que je suis la seule à voir des trucs dans l'escalier. Des choses qui sont censées être montées et rangées. Les autres ne voient jamais. Ils passent, ils regardent parfois mais ils ne voient pas. Ils ne voient pas donc ils ne ramassent pas", a-t-elle déclaré avec humour. Et d'ajouter : "Peut-être que j'ai un super-pouvoir, le super-pouvoir de voir les choses dans les escaliers. C'est fou. Je devrais sans doute être fière. Mais je suis fière, j'ai ce pouvoir. Et du coup, je ramasse et je range. Avez-vous ce super-pouvoir, de voir les objets traîner dans les escaliers ?".

En commentaires de sa publication, les internautes étaient nombreux à compatir pour Elodie Gossuin, assurant vivre eux-même des situations similaires chez eux.

Si elle préfère en rire, Elodie Gossuin a déjà confié avec plus de sérieux souvent se retrouver épuisée par sa tribu et même "au bout de sa vie".