Elle est l'un des plus beaux tops de la planète et vient d'être sacrée femme la plus sexy du monde par le magazine Maxim. Bar Refaeli se révèle sur la une du magazine Madame Figaro, en kiosques le 22 juin, et se confie sur son enfance et ses petits plaisirs lorsqu'elle rentre chez elle, en Israël. Une fille simple et nature qui a vécu dans un ranch avec ses frères et ses parents : extraits.
Demandée aux quatre coins du monde, et par conséquent souvent en escale dans les chambres d'hôtels, Bar Refaeli ne manque pas de dire combien sa famille lui manque lorsqu'elle est loin des siens. "J'aime mon travail mais parfois, c'est un métier de solitude", dit-elle, en soulignant qu'elle est accro à Twitter pour garder le lien avec ses proches.
Sculpturale, Bar Refaeli est aussi une fille simple, aux valeurs familiales intactes et toujours très admirative de ses parents, qui l'ont élevée dans la campagne, loin de la ville. "Chez moi, on m'a dit qu'il fallait toujours aller de l'avant et surtout ne jamais se plaindre. Ce serait une offense à tous ceux qui ont tant lutté pour leur liberté et pour la nôtre", dit-elle.
L'interview nous apprend que la belle Bar était aussi une brillante étudiante et qu'elle a suivi un cursus en psychologie et en littérature.
Ses petits plaisirs ? Retourner chez elle, aller se baigner à Tel-Aviv pour faire du surf et déguster les beignets aux pommes de sa maman, en toute simplicité.
Une interview à retrouver en intégralité dans Madame Figaro, en kiosques le vendredi 22 juin.