Christophe Alévêque pourrait rejoindre France Inter et Canal+ dès la rentrée.© Abaca
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Après avoir joué la pièce Ciao Amore pendant 10 semaines au théâtre de la Gaîté-Montparnasse, à Paris, aux côtés de sa bien-aimée Serena Reinaldi, gagnante de Nice People en 2003, Christophe Alévêque tente aujourd'hui de faire son retour sur le petit écran. S'il n'a jamais vraiment arrêté d'intervenir dans l'émission On va s'gêner, animée par Laurent Ruquier, tous les après-midi sur Europe 1, la télévision lui manque, et il est d'ailleurs dans l'attente de confirmation de deux projets. L'un pour la radio, et le second pour son come-back télévisuel.
"J'ai été contacté pour tenir une rubrique, deux fois par semaine, dans Le Fou du Roi de Stéphane Bern. J'ai dit 'oui' et je n'ai toujours pas de réponse", explique-t-il dans Le Parisien de ce matin, avant d'évoquer ses projets de chroniqueur, pour le nouveau magazine d'actualité dominical de Bruce Toussaint... "Bruce et son rédacteur en chef m'ont contacté pour une chronique hebdomadaire : ils veulent que je travaille avec eux mais je n'ai toujours pas de confirmation", poursuit-il.
Mais l'humoriste, qui s'était indigné du départ de France Inter de Stéphane Guillon et Didier Porte (toujours bienvenu dans Le Fou du Roi, a contrario), demeure très virulent au sujet de ce qu'il appelle tout bonnement "de la censure" : "Il y a une vraie censure qui s'est installée dans les médias, à la radio comme à la télévision. (...) A moins de deux ans de la présidentielle, les humoristes sont sur une liste noire. C'est de la censure sournoise, de l'autocensure ou bien de l'allégeance", dénonce l'humoriste.
En rejoignant France Inter, la radio qu'il accuse de censurer Porte et Guillon, sera-t-il soumis aux mêmes limites que lui... ou aura-t-il carte blanche ? Une chose est sûre, ce n'est pas Canal+, la chaîne anticonformiste et impertinente par excellence, qui lui reprochera de faire dans le subversif !
JO
"J'ai été contacté pour tenir une rubrique, deux fois par semaine, dans Le Fou du Roi de Stéphane Bern. J'ai dit 'oui' et je n'ai toujours pas de réponse", explique-t-il dans Le Parisien de ce matin, avant d'évoquer ses projets de chroniqueur, pour le nouveau magazine d'actualité dominical de Bruce Toussaint... "Bruce et son rédacteur en chef m'ont contacté pour une chronique hebdomadaire : ils veulent que je travaille avec eux mais je n'ai toujours pas de confirmation", poursuit-il.
Mais l'humoriste, qui s'était indigné du départ de France Inter de Stéphane Guillon et Didier Porte (toujours bienvenu dans Le Fou du Roi, a contrario), demeure très virulent au sujet de ce qu'il appelle tout bonnement "de la censure" : "Il y a une vraie censure qui s'est installée dans les médias, à la radio comme à la télévision. (...) A moins de deux ans de la présidentielle, les humoristes sont sur une liste noire. C'est de la censure sournoise, de l'autocensure ou bien de l'allégeance", dénonce l'humoriste.
En rejoignant France Inter, la radio qu'il accuse de censurer Porte et Guillon, sera-t-il soumis aux mêmes limites que lui... ou aura-t-il carte blanche ? Une chose est sûre, ce n'est pas Canal+, la chaîne anticonformiste et impertinente par excellence, qui lui reprochera de faire dans le subversif !
JO