Jeudi 15 septembre, le nouveau calendrier des Dieux du Stade faisait son apparition dans les magasins. Cette 17e édition offre cette fois sa couverture à Terry Bouhraoua, meilleur marqueur du tournoi olympique de Rio en rugby à 7. Il faut aussi compter sur des visages (et des corps) connus comme ceux de Nikola Karabatic et Sylvain Potard.
Ils sont pas moins de 30 athlètes a avoir accepté l'invitation qui leur a été faite de poser dans le plus simple appareil, sous l'oeil du photographe grec Errikos Andreou. Dans ce calendrier 2017, on retrouve pas moins de 38 photos en noir et blanc, certaines n'illustrant pas forcément un mois de l'année. Cinq disciplines ont été mises à l'honneur : le rugby, le handball, le judo, le biathlon et le MMA (Mix Martial Arts). Une fois encore, ce calendrier vendu au prix de 29 euros, a pour vocation d'apporter son aide à l'association Le cancer du sein, parlons-en !. Tout le monde devrait trouver son compte dans ce calendrier qui a largement mis de côté son aspect plusieurs fois jugé très homo-érotique pour simplement se contenter de sublimer les corps des athlètes sans en faire trop. Ainsi, hommes ou femmes, tout le monde peut se rincer l'oeil !
Sylvain Potard, qui avait fait sensation l'an passé avec une photo où son sexe démesuré avait fait couler beaucoup d'encre, abonde dans ce sens. "Ça ne me gêne pas que les hommes fantasment sur ma photo", confie le combattant de MMA au magazine Public. Cette année il est toutefois photographié de manière plus pudique. "Je l'ai joué soft, inutile de surenchérir", dit-il. De son côté, Terry Bouhraoua qui fait la couverture raconte : "Si on m'avait demandé de montrer mon sexe, ça n'aurait pas été la position dans laquelle j'aurais été le plus à l'aise, c'est sûr (...) mais quand on fait ce calendrier, on sait pourquoi on y va."
Le DVD du making-of sortira à la mi-octobre.
Thomas Montet