Après Mathilde Seigner et Cécile Cassel dans leur numéro de haute voltige, c'est au tour de Nolwenn Leroy et Estelle Lefébure de se mettre en danger et de nous montrer leurs talents pour le 50ème Gala d' l'Union des Artistes, qui permet chaque année à de nombreux artistes démunis de continuer à exister grâce à l'argent récolté, au profit de l'Union Sociale du Spectacle. C'est une production Angora et Morgane avec la participation de France Télévisions en coproduction avec l'Association artistique de l'Adami.
C'est sous le chapiteau du cirque Alexis Gruss à Paris et le regard de la grande Claudia Cardinale , celui de Catherine Jacob et d'Anna Mouglalis (toutes trois maîtresses de cérémonie de ce jubilé) qu'une quinzaine de chanteurs et acteurs se réunira pour éblouir le public. Amel Bent et Mathilda May affronteront des pirates sur des mâts oscillants, Héléna Noguerra et Estelle Lefébure joueront à l'élastique, Dominique Pinon et Irène Jacob seront des magiciens, Natasha St-Pier et Anna Mouglalis perdront leur voix pour un funambule, Emma de Caunes se lancera dans un numéro de voltige équestre aux côtés de Nolwenn Leroy et Bruno Solo jouera à Austin Powers pour le plus grand plaisir du public. Jeanne Cherhal, Julien Cottereau (qui vient de triompher au côté de Johnny Hallyday dans Le Paradis sur Terre), Natalie Dessay, Shirley et Dino , Florence Thomassin , Michèle Bernier nous éblouiront également de leurs talents.
Les artistes se réuniront ensuite pour un grand final explosif le 21 novembre 2011 dans une mise en scène de Stéphane Ricordel, co-directeur du Théâtre Sylvia-Montfort. Relancé en 2010 après trente ans de sommeil, ce gala magique s'annonce toujours plus incroyable selon la productrice Elsa Caillart : "Le spectacle qui sera donné lundi soir sur le thème du cinéma, de Fellini à Austin Powers, sera encore plus novateur, surprenant et festif que la dernière fois. L'imaginaire sera roi dans une scénographie décalée qui jouera la démesure et l'exubérance." Une soirée pleine de surprises et d'étoiles à prévoir, donc.