Jérémie Elkaim et Valérie Donzelli lors du photocall du film Main dans la main durant le Festival de Sarlat le 13 novembre 2012© Abaca
La suite après la publicité
Bavard et charmeur, Jérémie Elkaïm est un sujet bien agréable en interview. En promotion pour Main dans la main, romance dansée dont il est le héros, le comédien de 34 ans se dévoile lors des interviews. Pour le magazine Grazia, il parlera de ce long métrage pour lequel il a remporté le prix d'interprétation à Rome et réalisé par sa complice de toujours, Valérie Donzelli, mère de ses deux enfants.
Main dans la main est une romance chorégraphiée aux accents surréalistes : "Valérie et moi partageons un désir de ne pas faire de naturalisme. [...] La sincérité, c'est le mal de notre époque." Avide de déclarations choc, il continuera sur le sujet amoureux : "L'amour déchire, fait souffrir. Je ne crois pas à l'amour sécuritaire. Pour vivre des choses, il faut risquer d'en perdre."
Dans le film, Jérémie Elkaïm vit son histoire sentimentale, non pas avec Valérie Donzelli, mais avec Valérie Lemercier, amie du duo de longue date qui fait irruption dans leur univers décalé : "Après Astérix [Dame Lemercier incarne Miss Macintosh], je pense qu'elle avait l'impression de faire un documentaire dans une cave en Roumanie." Valérie Donzelli n'est pas l'amoureuse dans Main dans la main, mais elle joue sa soeur : "C'était ludique, ce côté incestueux."
Le comédien n'est pas réticent à l'idée de parler de sa relation particulière avec Valérie Donzelli. Aux dernières nouvelles, le couple est séparé mais cela reste toujours difficile à croire lorsque l'on voit son intense complicité : "Je pense qu'on a vécu des choses qui nous ont isolés et qui ont scellé entre nous des liens un peu spéciaux. On essaie d'exister l'un sans l'autre, mais on est très solidaires, avec cette idée qu'ensemble, on est plus fort que chacun dans son coin." Une référence certaine à la tumeur au cerveau dont leur fils a été victime et qui est devenue le coeur du film La guerre est déclarée.
Ainsi, ils se décrivent chacun comme la muse de l'autre. A quand un réalisation de Jérémie Elkaïm avec Valérie Donzelli à l'affiche ? "Je voulais faire des films, mais comme je suis un branleur, le dilettantisme m'a conduit à être acteur. Et ça m'amuse, je n'ai pas peur du ridicule. Ce qui fait que je passe la moitié du film en collants roses, avec une trousse qui est censée masquer la forme, mais qui donne l'impression que j'ai un énorme paquet."
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Grazia du 14 décembre
Main dans la main, en salles le 19 décembre
Main dans la main est une romance chorégraphiée aux accents surréalistes : "Valérie et moi partageons un désir de ne pas faire de naturalisme. [...] La sincérité, c'est le mal de notre époque." Avide de déclarations choc, il continuera sur le sujet amoureux : "L'amour déchire, fait souffrir. Je ne crois pas à l'amour sécuritaire. Pour vivre des choses, il faut risquer d'en perdre."
Dans le film, Jérémie Elkaïm vit son histoire sentimentale, non pas avec Valérie Donzelli, mais avec Valérie Lemercier, amie du duo de longue date qui fait irruption dans leur univers décalé : "Après Astérix [Dame Lemercier incarne Miss Macintosh], je pense qu'elle avait l'impression de faire un documentaire dans une cave en Roumanie." Valérie Donzelli n'est pas l'amoureuse dans Main dans la main, mais elle joue sa soeur : "C'était ludique, ce côté incestueux."
Le comédien n'est pas réticent à l'idée de parler de sa relation particulière avec Valérie Donzelli. Aux dernières nouvelles, le couple est séparé mais cela reste toujours difficile à croire lorsque l'on voit son intense complicité : "Je pense qu'on a vécu des choses qui nous ont isolés et qui ont scellé entre nous des liens un peu spéciaux. On essaie d'exister l'un sans l'autre, mais on est très solidaires, avec cette idée qu'ensemble, on est plus fort que chacun dans son coin." Une référence certaine à la tumeur au cerveau dont leur fils a été victime et qui est devenue le coeur du film La guerre est déclarée.
Ainsi, ils se décrivent chacun comme la muse de l'autre. A quand un réalisation de Jérémie Elkaïm avec Valérie Donzelli à l'affiche ? "Je voulais faire des films, mais comme je suis un branleur, le dilettantisme m'a conduit à être acteur. Et ça m'amuse, je n'ai pas peur du ridicule. Ce qui fait que je passe la moitié du film en collants roses, avec une trousse qui est censée masquer la forme, mais qui donne l'impression que j'ai un énorme paquet."
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Grazia du 14 décembre
Main dans la main, en salles le 19 décembre