Agacée, elle vient de publier un message sur Twitter dans lequel elle s'insurge contre ce qu'elle appelle des "conneries" publiées par l'hebdomadaire d'information à la suite d'une longue enquête sur l'envers du décor des jeux télé préférés des Français.
Ces réactions de Laurence Boccolini font suite à la publication d'une enquête par le magazine VSD daté du jeudi 4 décembre dans laquelle il était notamment révélé l'envers du décor des castings de Money Drop.
On y apprenait notamment que, pour garantir à TF1 de ne pas dépasser un budget moyen de dotations alloué (18 000 euros en moyenne par émission), les castings sont réalisés avec minutie. Pas besoin d'être bon, il suffit d'être moyen. En effet, un candidat trop cultivé, c'est un candidat qui repart avec trop d'argent. "Les trop bons, qu'ils aillent faire Questions pour un champion", assure avoir entendu dans les couloirs des castings de Money Drop le journaliste de VSD. Et dans le cas où l'enveloppe allouée par émission par la chaîne serait dépassée par la production, la chaîne ne couvrirait pas l'excédent. La société de production de l'émission y serait donc de ses propres deniers.
"Pendant les castings, les candidats sont profilés, entendez qu'on sait à peu près tout d'eux, leurs points forts, leurs points faibles, les événements capables de faire monter leur stress, etc. Bref, il n'y a plus qu'à (...) choisir les bonnes questions, les mettre dans l'ordre de la partie et laisser faire", poursuit l'hebdomadaire d'information, qui assure qu'avec ces nombreuses informations récoltées sur les castings du jeu de Laurence Boccolini, la production a tout le loisir de faire gagner un candidat ou d'en faire perdre un autre...
En septembre dernier, Laurence s'était déjà indignée contre ses détracteurs qui l'accusaient de faire appel à des auteurs pour écrire les vannes qu'elle lançait aux candidats du Maillon Faible. Agacée, elle avait twitté : "Là ça me saoule : mes vannes du Maillon n'étaient pas écrites par des "auteurs". C'est techniquement impossible ! DONC STOP !"
Joachim Ohnona