Durement affecté en 2012 par la perte de deux êtres chers, d'abord avec la disparition au printemps de sa grand-mère Emmanuelle de Dampierre, puis en automne avec celle de Federico Trenor y Trenor, baron d'Alaquas, l'homme qui fut son protecteur et son mentor suite à la mort de son père en 1989, le prince Louis de Bourbon espère sans doute vivre une année 2013 plus clémente.
C'est en tout cas la joie et le plaisir d'être ensemble qui régnaient le 25 avril 2013 pour son 39e anniversaire, qu'il a passé en toute discrétion à Madrid en compagnie de ses proches et amis. Le duc d'Anjou, chef de la Maison de Bourbon-Anjou et prétendant légitimiste à la Couronne de France, avait donné rendez-vous à dîner à son entourage dans un restaurant du centre de Madrid, où il réside avec son épouse la princesse Margarita et leurs enfants, Eugenia, 6 ans, et les jumeaux Luis (Louis) et Alfonso (Alphonse), qui auront 3 ans le 28 mai prochain.
Outre son épouse la princesse Margarita, ravissante dans une courte robe bleu marine, le prince Louis de Bourbon, actuellement employé comme vice-président de la banque vénézuélienne Banco Occidental de Descuento (Western Discount Bank), avait autour de lui ses proches amis Enrique Ponce et Paloma Cuevas, Bruno Gómez Acebo, venu avec sa femme Bárbara Cano, Paloma Segrelles, récemment divorcée. Preuve de la bonne ambiance qui devait régner, la soirée d'anniversaire ne s'est terminée qu'aux petites heures du matin, lorsque le duc d'Anjou a chargé ses cadeaux dans le coffre de sa voiture avec l'aide de ses amis.
Le prince avait reçu dans la matinée la visite de sa mère Carmen Martinez-Bordiu, qui est également revenue vivre à Madrid depuis son divorce en février d'avec José Campos, son troisième époux, après 7 ans de mariage.
Grand fan d'athlétisme, le prince Louis de Bourbon a bien failli vivre en vrai la tragédie des attentats du marathon de Boston, qu'il aurait dû courir (comme ceux de Paris et New York) si une blessure à la cuisse ne l'avait pas obligé à déclarer forfait.