Nicolas Duvauchelle au village lors des Internationaux de France de tennis de Roland Garros le 7 juin 2013© BestImage
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Il se voulait boxeur, il sera acteur. Nicolas Duvauchelle a désormais derrière lui plus de dix ans de carrière, et, à 34 ans, offre un regard lucide et tendre sur son parcours, sa vie et sa famille, pour le magazine Edgar, à l'aube de la sortie de deux films dans lesquels il joue : Maintenant ou jamais avec Leïla Bekhti, et Bodybuilder, de Roschdy Zem.
"J'adore rire, bien manger, boire.... J'adore la vie quoi !", s'exclame Nicolas Duvauchelle. Elégant au possible en couverture de la revue masculine Edgar, il ne manque pas non plus d'ouvrir son coeur au cours de l'interview. Ainsi, il avouera ses erreurs du passé : "A un moment, j'ai un peu pété les plombs à cause de l'argent. Il y a des choses que j'aurais dû entreprendre autrement [...] Je claquais mon argent n'importe comment, j'achetais des voitures... Tous les ans, je recevais pas mal d'argent [...] Aujourd'hui, j'ai acheté un appartement pour mes enfants. Sans avoir été vraiment très dépensier, j'ai arrêté les conneries."
Cet argent lui vient du monde de la mode. Grâce à lui, il a réussi à mieux gagner sa vie au début de sa carrière, où les choses n'étaient pas simples : "Après Le Petit Voleur et Beau travail, j'ai connu une période de galère. J'ai joué, sans les citer, dans des films 'alimentaires'. [...] Hugo Boss, Louis Vuitton, ça m'a permis de me sortir un peu la tête de l'eau, du malaise qui était le mien à l'époque."
Homme serein aujourd'hui, il fait l'éloge de ses enfants, son moteur pour avancer dans la vie, même lorsqu'elle est difficile. Il est le père de Bonnie (9 ans et demi), qu'il a eue avec son ex Ludivine Sagnier, qu'il considère comme une femme formidable, et Romy (2 ans), dont la mère est Laura Isaaz. "La grande, même si elle n'a que 9 ans et demi, j'aime bien la personne qu'elle est en train de devenir. Je suis très heureux de l'éducation de mes enfants. Enfin pour l'instant. J'ai été père très jeune. Ce n'était pas facile. Aujourd'hui, je suis très fier d'elles. Je suis très fier de ma famille."
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Edgar d'août-septembre 2014
Maintenant ou jamais, en salles le 3 septembre
Bodybuilder, en salles le 1er octobre
"J'adore rire, bien manger, boire.... J'adore la vie quoi !", s'exclame Nicolas Duvauchelle. Elégant au possible en couverture de la revue masculine Edgar, il ne manque pas non plus d'ouvrir son coeur au cours de l'interview. Ainsi, il avouera ses erreurs du passé : "A un moment, j'ai un peu pété les plombs à cause de l'argent. Il y a des choses que j'aurais dû entreprendre autrement [...] Je claquais mon argent n'importe comment, j'achetais des voitures... Tous les ans, je recevais pas mal d'argent [...] Aujourd'hui, j'ai acheté un appartement pour mes enfants. Sans avoir été vraiment très dépensier, j'ai arrêté les conneries."
Cet argent lui vient du monde de la mode. Grâce à lui, il a réussi à mieux gagner sa vie au début de sa carrière, où les choses n'étaient pas simples : "Après Le Petit Voleur et Beau travail, j'ai connu une période de galère. J'ai joué, sans les citer, dans des films 'alimentaires'. [...] Hugo Boss, Louis Vuitton, ça m'a permis de me sortir un peu la tête de l'eau, du malaise qui était le mien à l'époque."
Homme serein aujourd'hui, il fait l'éloge de ses enfants, son moteur pour avancer dans la vie, même lorsqu'elle est difficile. Il est le père de Bonnie (9 ans et demi), qu'il a eue avec son ex Ludivine Sagnier, qu'il considère comme une femme formidable, et Romy (2 ans), dont la mère est Laura Isaaz. "La grande, même si elle n'a que 9 ans et demi, j'aime bien la personne qu'elle est en train de devenir. Je suis très heureux de l'éducation de mes enfants. Enfin pour l'instant. J'ai été père très jeune. Ce n'était pas facile. Aujourd'hui, je suis très fier d'elles. Je suis très fier de ma famille."
Retrouvez l'intégralité de l'interview dans le magazine Edgar d'août-septembre 2014
Maintenant ou jamais, en salles le 3 septembre
Bodybuilder, en salles le 1er octobre