Sophie Marceau, "femme de l'année" pétillante et divine après les larmes

Le 8 mars, Journée de la femme oblige, Sophie Marceau était célébrée dans le cadre du premier déjeuner "édition spéciale femmes" organisé par le Chinese Business Club. Il faut dire que l'élégante comédienne, qui est par ailleurs très appréciée en Chine où elle impose une forme d'élégance à la française qui fascine, est ambassadrice de ce club d'affaires où grands dirigeants français et chinois parlent business, finances et économie.

Parce que la culture a également une place importante dans les liens entre les deux pays, Sophie Marceau s'est chargée de faire le trait d'union. Mardi, la citoyenne de monde était d'ailleurs honorée du prix de la femme de l'année, remis par Harold Parisot, créateur du Chinese Business Club.

Le rendez-vous était donné dans le grand salon de l'hôtel Intercontinental où 250 invitées avaient pris place. Parmi elles, Sylvie Tellier et sa belle Miss France 2016 toute de rouge vêtue, la douce Sofia Essaïdi, Hélène de Fougerolles revenue de ses vacances à l'Ile Maurice, Sarah Lavoine, Laurent Roustandjee ou encore Aida Touihri et Valérie Expert. Et quelques hommes, dont Claude Guéant, Laurent Dassault et Adel Kachermi. Mais les regards étaient tous tournés vers la divine Sophie Marceau, qui à défaut de parader avec la Légion d'honneur qu'elle disait avoir refusée le jour même, était mise à l'honneur.

"Qui mieux que Sophie Marceau pour incarner l'image de la France féminine, raffinée : la petite fiancée des français a su conquérir le coeur des chinois", vantait Harold Parisot, flatteur, avant que Sophie Marceau ne reçoive le trophée, puis ne découvre le portrait d'elle en feuilles d'or réalisé en direct par l'artiste Huang FengRong.

Pétillante à souhait, Sophie Marceau affichait un sourire radieux et une joie de vivre évidente, à peine trois semaines après la mort d'Andrzej Zulawski, son ex-compagnon et père de son fils aîné Vincent. L'actuelle compagne de Cyril Lignac a donc troqué les larmes de tristesse pour le sourire du bonheur, et ce n'est pas pour nous déplaire.