Tristane Banon et Eric Naulleau: Elle lui tape dans l'oeil, il l'engage...

Réactualisation de 21h10 : Le service de presse de Paris Première vient de mettre un bémol à l'annonce faite par le site internet de l'Express. L'AFP a contacté la chaîne et Tristane Banon va être, pour le moment, une chroniqueuse invitée pour l'émission du 17 décembre. Une poursuite de cette collaboration sera décidé ultérieurement... Tristane, il va falloir être bonne ce jour-là !

Voilà un rebondissement qui n'est pas d'ordre judiciaire : Tristane Banon a décroché une place de chroniqueuse dans l'équipe de Ça balance à Paris sur Paris Première. Selon la version en ligne de L'Express, la jeune écrivaine de 32 ans rejoindra dès le 17 décembre l'équipe de l'émission présentée par Éric Naulleau.

Éditeur de profession, Éric Naulleau remplace Pierre Lescure dans Ça balance à Paris depuis septembre 2010. Il recevait, ce début novembre, Tristane Banon pour évoquer la sortie de son livre - Le Bal des hypocrites, éditions Au Diable Vauvert - dans lequel elle livre son témoignage de l'affaire Dominique Strauss-Kahn, son ressenti, jusqu'à son dépôt de plainte. Une plainte classée sans suite par le parquet de Paris qui reconnaît cependant que "des faits pouvant être qualifiés d'agression sexuelle sont quant à eux reconnus". Durant l'émission, l'exigeant Éric Naulleau a loué les qualités littéraires du livre de Tristane Banon. Elle commentera désormais à ses côtés l'actualité culturelle et médiatique.

Dans un registre judiciaire, sachez qu'un avocat américain de Nafissatou Diallo a rencontré celui de Tristane Banon, David Koubbi. La femme de chambre du Sofitel, déboutée au pénal, a porté plainte au civil début août. Dans l'optique de préparer cette procédure, qui aura pour objectif d'obtenir des dommages et intérêts d'un montant non précisé, l'un de ses avocats étaient à Paris de jeudi jusqu'à ce lundi 28 novembre.

Tristane Banon s'est déclarée tout à fait prête à faire le voyage à New York pour témoigner contre Dominique Strauss-Kahn lors du procès.