Le quotidien de Shanna Kress et Jonathan Matijas n'est décidément pas des plus simples. S'ils sont comblés depuis qu'ils sont devenus parents du petit Loüka en novembre 2022, les tourtereaux voient régulièrement leur bonheur gâché. Au début de l'année, ils ont malheureusement été cambriolés, "pillés dans leur intimité", comme ils le déploraient. Jonathan Matijas perdait quelque temps plus tard dans la douleur sa grand-mère adorée. Qui plus est, lui et Shanna doivent faire face presque chaque jour à des commentaires désobligeants, que ce soit autour de leur train de vie, de leur enfant ou même de leur couple.
Se disant victimes de cyberharcèlement, ils ont donc décidé d'agir. Jeudi 29 juin, Jonathan Matijas a partagé la preuve de la plainte pour "diffamation" qu'il a récemment déposée à l'encontre d'un internaute dont il ne révèlera pas l'identité. "Vous êtes prévenus ! Dorénavant toute personne qui dira n'importe quoi à notre sujet devra en répondre devant la justice !", a-t-il annoncé en légende. Et d'ajouter : "La liberté d'expression ce n'est pas le droit de dire n'importe quoi. La loi dit que : Le harcèlement est une violence faite à la personne. Cette violence porte atteinte aux droits fondamentaux : à la dignité, à l'intégrité physique et psychique."
Quand on demande à ma femme de prendre la pilule ou fermer les cuisses...
Jonathan Matijas se reconnaît tout à fait victime de cette violence et le prouve en partageant quelques exemples de ce qu'il subit. "Quand on réclame de nous enlever la garde de notre fils, quand on demande à ma femme de prendre la pilule ou fermer les cuisses parce qu'on ne la considère pas capable d'être une bonne maman ou qu'on vient jusque dans la ville où je vis pour me proposer de 'régler nos comptes'... et j'en passe tellement : c'est du harcèlement !", a-t-il écrit.
L'ancien candidat de télé-réalité précise qu'une enquête va s'ouvrir et qu'il compte bien "aller au bout". Il met enfin en garde : "Toutes celles et ceux qui suivent ce genre d'individus, vous êtes aussi coupables et dorénavant tous ceux qui se permettront des commentaires trop déplacés subiront le même sort. À bon entendeur."