Le magazine Closer en kiosques le samedi 5 mai 2012.
La suite après la publicité
Révélée (c'est un bien grand mot) dans Secret Story saison 4 avant d'enchaîner sur deux saisons des Anges de la Télé-Réalité (la première puis la quatrième, Club Hawaï, actuellement diffusée sur NRJ 12), Amélie Neten est incontestablement une figure marquante de la télé-réalité en France.
Maman d'un petit Hugo qui fêtera ses six mois ce mois-ci, elle revient sur sa récente hospitalisation en raison de ses implants mammaires défectueux, dans les pages du magazine Closer en kiosques ce samedi 5 mai.
Décidément, tout est bon pour vendre ses déclarations et mésaventures, et rester sur le devant de la scène pour Amélie qui s'étendait, dans le magazine Oops! en kiosques hier, sur les menaces de mort dont son fils avait fait l'objet.
"J'étais en famille lorsque j'ai ressenti une vive douleur dans mon sein gauche. J'ai d'abord pris des calmants mais j'ai finalement décidé d'aller aux urgences. (...) Evidemment, j'ai eu peur. Après le scandale autour des prothèses PIP, je n'étais pas du tout rassurée. Je me suis vraiment demandé si mon implant ne s'était pas percé. Quand on ressent des douleurs comme celles que j'ai ressenties, on se pose des questions. J'ai réellement eu peur d'avoir un cancer", déclare-t-elle.
En réalité, son implant avait simplement bougé. Un médecin l'a remis en place. Plus de peur que de mal. Plus de buzz que de fond.
Une question subsiste : pourquoi les magazines people continuent-ils de jouer le jeu de ces candidats de télé-réalité qui, au nom d'un désir de médiatisation toujours plus grand, sacrifient le peu de dignité et de vie privée qu'il leur reste pour faire la une de la presse ?
Joachim Ohnona
Maman d'un petit Hugo qui fêtera ses six mois ce mois-ci, elle revient sur sa récente hospitalisation en raison de ses implants mammaires défectueux, dans les pages du magazine Closer en kiosques ce samedi 5 mai.
Décidément, tout est bon pour vendre ses déclarations et mésaventures, et rester sur le devant de la scène pour Amélie qui s'étendait, dans le magazine Oops! en kiosques hier, sur les menaces de mort dont son fils avait fait l'objet.
"J'étais en famille lorsque j'ai ressenti une vive douleur dans mon sein gauche. J'ai d'abord pris des calmants mais j'ai finalement décidé d'aller aux urgences. (...) Evidemment, j'ai eu peur. Après le scandale autour des prothèses PIP, je n'étais pas du tout rassurée. Je me suis vraiment demandé si mon implant ne s'était pas percé. Quand on ressent des douleurs comme celles que j'ai ressenties, on se pose des questions. J'ai réellement eu peur d'avoir un cancer", déclare-t-elle.
En réalité, son implant avait simplement bougé. Un médecin l'a remis en place. Plus de peur que de mal. Plus de buzz que de fond.
Une question subsiste : pourquoi les magazines people continuent-ils de jouer le jeu de ces candidats de télé-réalité qui, au nom d'un désir de médiatisation toujours plus grand, sacrifient le peu de dignité et de vie privée qu'il leur reste pour faire la une de la presse ?
Joachim Ohnona