Sa nouvelle vie à la campagne, sa famille, ses rares sorties mondaines... Pauline Lefèvre partage beaucoup sur les réseaux sociaux. Elle confie également ses peines et galères aux internautes. L'ex-Miss Météo du Grand Journal relève la tête, après un mois de janvier difficile marqué par un éloignement de ses jumeaux et un cambriolage.
"Perso je me souhaite moins de cernes, plus de soleil, de l'inspiration et de la persévérance en tout, et puis aussi la fève sans tricher. Faisons ensemble que cette année nous soit un peu douce !", écrivait Pauline Lefèvre sur Instagram, le 7 janvier dernier. Malgré ses souhaits à ses plus de 17 000 followers et son envie de positivité, l'actrice de 40 ans a vécu un premier mois de 2022 extrêmement difficile. Elle garde néanmoins le sourire, comme le montre sa dernière publication.
"Le Covid, l'isolement loin de ses bébés, un van en panne longue durée, puis un petit cambriolage pour finir ce mois de janvier... Mais j'ai eu mon taxi par contre ! Allez, bon mois de février à tous", écrit une Pauline Lefèvre guérie du virus. La jeune femme a visiblement retrouvé la forme, comme l'indique sa photo la montrant en train de héler un taxi près de l'Arc de Triomphe.
L'image est un souvenir de sa soirée passée à Paris en compagnie de son ex-collègue du Grand Journal, Elise Chassaing.
À Paris, Pauline Lefèvre a toujours ses repères. Elle a pourtant quitté la capitale et s'est installée en Bourgogne, avec son mari Julien Ansault (fils de Chantal Ladesou) et leurs deux jumeaux de 16 mois, Léopoldine et Hughes.
"Je regarde mes bébés grandir, découvrir le monde qui les entoure. J'ai décidé de les allaiter et surtout ne pas me poser trop de questions. Je me sens si chanceuse de pouvoir vivre ces moments privilégiés, malgré le contexte catastrophique, entre autres pour nos métiers de la culture. J'ai l'impression d'être une maman louve qui les protège de toutes les ondes négatives", expliquait-elle au magazine Gala en mars 2021, à qui elle avait ouvert les portes de sa nouvelle maison.
Sur cette vie à la campagne, Pauline Lefèvre ajoutait : "Je voudrais que Léopoldine et Hughes apprennent qu'être au milieu de la nature, c'est être à sa place. Dans cet endroit, je me sens comme dans une bulle. C'est un paradis (...) J'ai ressenti une telle sérénité, c'était une évidence qu'on devait rester ici."