Surtout pas de fleurs pour Emilie Dequenne : ses proches appellent à un geste symbolique pour lui dire au revoir

Apprendre le décès d’un proche est une étape en elle-même. La famille et l’entourage d’Emilie Dequenne en savent quelque chose puisque le dimanche 16 mars dernier, l’actrice de 43 ans a été emportée par un cancer rare qui lui avait été diagnostiqué en 2023 : le corticosurrénalome. Si elle s’est battue tant bien que mal et a fait preuve d’une détermination sans faille, cela n’aura malheureusement pas suffi à Emilie Dequenne pour voir son rêve de vivre jusque 80 ans se réaliser.

L’annonce de sa disparition a fait l’effet d’une onde de choc dans le milieu du cinéma, qui, même si elle était malade, ne s’attendait pas à ce que son départ arrive si vite. Face aux messages plein d’amour et aux marques d’affection des internautes, Milla, la fille unique de 22 ans d'Emilie Dequenne a réagi. Et si le travail de deuil a commencé, il risque d’être très long à digérer d’autant plus qu’une nouvelle épreuve arrive très bientôt.

Au lendemain de sa mort, Paris Match était en mesure de confirmer que les obsèques d’Emilie Dequenne se déroulaient non pas en Belgique, mais à Paris, au crématorium du Père-Lachaise, le mercredi 26 mars à partir de 15h30. Un rendez-vous qui s’annonce d’ores et déjà riche en émotions.

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Selon les informations transmises par l’AFP, les “proches ont demandé à ce qu’aucune fleur ne soit achetée, demandant à ce que ceux qui le souhaitent fassent un don pécunier. L’argent sera reversé à la recherche contre le cancer qui a emporté la comédienne” apprend-on. Les dons sont possibles sur le site de la Fondation Gustave Roussy. 

Cette demande fait écho à celle faite par la famille de Catherine Laborde. L’ex-présentatrice météo de TF1 souffrait de la maladie à corps de Lewy, mélange d’Alzheimer et de Parkinson. Mais si beaucoup arboraient une particularité singulière à l'église lors des obsèques le 6 février dernier, couronne et fleurs étaient bannies de la cérémonie. À la place, ceux qui le souhaitaient pouvaient faire un don pour la recherche contre la maladie. Des dons qui, s'ils avaient été faits avant, auraient peut-être pu leur sauver la vie…