Le 8 janvier, Brigitte Macron, - qui a fait du handicap ou du harcèlement scolaire une priorité - était à Bordeaux pour le lancement de la 36ème édition des Pièces Jaune aux côtés de Didier Deschamps, parrain de l'opération. Et ce jeudi soir, celle qui participait récemment au Grand concours spécial Pièces Jaunes sur TF1 aux cotés d'Arthur s'est rendue au concert du Gala des Pièces Jaunes 2025, qui s'est tenu à Paris La Défense Arena.
Plus tôt dans la journée, nos confrères du Paris Match ont sorti leur édition, du jour, dans laquelle on apprend que la présidente de la Fondation des Hôpitaux de Paris est très éprouvée par son rôle de Première dame et toutes les rumeurs qu'il peut y avoir à son encontre. "Elle ne le dira jamais ouvertement, ce n'est pas son caractère, mais je sens qu'elle ne va pas très bien", a notamment confié "un intime", au magazine.
Une phrase qui vient de faire réagir Bernard Montiel, grand ami de Brigitte Macron, sur le plateau de Touche pas à mon poste ce vendredi 24 janvier 2025. "Je suis très surpris. Elle est très en forme. On en a parlé hier, elle m'appelle avant la soirée des Pièces Jaunes, qui a été un énorme succès d'ailleurs, et elle me dit 'tu as vu que je suis désespérée ?', je lui dis 'ah bon ?', et en fait elle en a rigolé. Elle était donc avec nous hier soir et je peux vous dire qu'elle n'avait rien de désespéré ! C'est n'importe quoi...", a-t-il raconté.
Gilles Verdez a dans la foulée souhaité nuancé les propos de son camarade, en reprenant les informations de Paris Match : "Un point sur lequel on peut peut-être se retrouver, c'est le stress causé par les attaques publiques. Elle souffrirait d'attaques répétées dont elle est victime sur les réseaux sociaux, et donc elle se sentirait notamment instrumentalisée par des personnes animées par des désirs de vengeance envers son mari."
"D'abord, elle n'est pas sur les réseaux, elle ne regarde pas.", a alors répondu Bernard Montiel, lui qui venait quelques instants auparavant d'expliquer que ses proches "ne parlent pas", ce qui remet donc en doute les informations de nos confrères de Paris Match, qui affirment les avoir rencontrés.
Pour revenir sur les déclarations de Gilles Verdez, Brigitte Macron a effectivement été victime de cyberharcèlement. Elle a d'ailleurs obtenu gain de cause en septembre dernier contre les deux femmes responsables d'avoir propagé des rumeurs la concernant. Ces dernières ont été condamnées par le Tribunal correctionnel de Paris.
"Certains journaux me prêtent des phrases que je ne dis pas. Je n'ai jamais dit à personne ce que je pensais", avait-elle également lancé sans ciller sur le plateau de TF1 pour promouvoir la nouvelle édition des Pièces Jaunes en ce début d'année. Une sortie nécessaire pour mettre fin aux bruits de couloirs. Mais Bernard Montiel insiste, elle n'est pas "désespérée" !