






Samedi 15 février 2025, une nouvelle session d'auditions à l'aveugle sera diffusée en prime time dans le cadre du télé-crochet The Voice sur TF1. Les téléspectateurs pourront ainsi retrouver les quatre coachs du programme, parmi lesquels on peut notamment citer Florent Pagny. Présent dès le lancement de l'émission en 2012 sur la première chaîne, le chanteur s'est imposé comme le visage historique du télé-crochet. Contraint de se retirer durant les deux dernières saisons pour se concentrer sur son traitement contre le cancer du poumon dont il souffre, le musique a effectué son grand retour dans l'émission cette année. Présent en France dans le cadre des enregistrements du programme, Florent Pagny réside habituellement en Patagonie.
Toutefois, le célèbre chanteur possède également une propriété sur le territoire français. Celle-ci se trouve au sein de sa région natale, en Côte-d'or. Un département au nom poétique. Né à Chalon-sur-Saône, Florent Pagny a réalisé l'acquisition de La Ferme du Fossé, située à Échevannes, par l'intermédiaire de la SCI qu'il possède avec son épouse, Azucena, et ses deux enfants, Inca et Aël. La résidence du musicien est en fait une maison fortifiée inscrite aux Monuments historiques. "La Ferme du Fossé a connu plusieurs vies : château fort au XVe siècle, partiellement détruit en 1591, puis enrichi de bâtiments Renaissance en 1596. En 1793, elle devint le refuge de Charles-François Dupuis, député de la Convention et savant polyvalent surnommé 'le Léonard de Vinci français'. […] C’est aussi un véritable havre de biodiversité", a notamment indiqué Jean-Marc Perrin, l'ancien propriétaire de La Ferme du Fossé, dans une interview accordée au Bien Public.

C'est d'ailleurs lui qui a vendu cette maison à Florent Pagny. Une transaction immobilière qui semble avoir fait la joie des nouveaux voisins du chanteur à Échevannes. "Ça nous fait plaisir, c’est une bonne chose que ce soit racheté par un Bourguignon", a notamment déclaré l'un des 300 habitants de cette petit commune. "Ça fait un moment qu’on en entendait parler, mais on ne savait pas trop s’il fallait y croire ou non", ont également ajouté d'autres personnes interrogées par Le Dauphiné Libéré à ce sujet.