






Zaz, qui a toujours cultivé une image discrète, a décidé de prendre un tournant en rejoignant le jury de The Voice. Cette participation inattendue à la célèbre émission de TF1, bien que surprenante pour beaucoup, révèle un aspect moins connu de la chanteuse : sa relation complexe avec la médiatisation et l'argent.
Si la chanteuse a toujours préféré l’ombre à la lumière, affirmant même que "moins on me voit, mieux je me porte", elle a dû remettre en question cette philosophie pour accepter son rôle dans l'émission. Dans un contexte où chaque geste est scruté par les réseaux sociaux et les médias, Zaz admet avoir longtemps redouté l’exposition publique.
Mais si l’argent n’a pas été au cœur de sa carrière, il joue cependant un rôle important dans sa vie. Contrairement à ce que certains ont pu penser, Zaz n’a jamais affirmé vouloir fuir la richesse. Son souhait : éviter qu’elle ne devienne le centre de son existence. "Chanter, c’est mon métier, si les gens veulent me payer très cher pour m’avoir, évidemment que j’y vais", déclarait-elle début février dans Le Parisien
Cependant, l'argent qu’elle génère n’est pas investi dans des biens matériels, comme des biens immobiliers. Au lieu de cela, elle l’utilise pour des projets qui lui tiennent à cœur, comme un festival en Ardèche et diverses associations. "L’argent ne m’a pas servi à m’offrir une maison de campagne, mais à investir dans mon festival en Ardèche, dans des associations… Et c’est très cool", affirme-t-elle avec enthousiasme.
Pour Zaz, l’argent est un moyen de financer des projets qui lui permettent de donner du sens à sa carrière. "J’ai toujours voulu qu’il ait une utilité concrète, pas pour accumuler des biens", explique-t-elle à nos confrères, avant de préciser que son parcours a évolué au fil des années.
Cette évolution se reflète dans son approche de la médiatisation, qu’elle considère désormais comme un levier pour la réalisation de ses rêves. En acceptant des rôles comme celui de coach dans The Voice, Zaz a fait un travail personnel intense pour surmonter ses peurs et se libérer des jugements extérieurs. "La peur ne doit pas m’empêcher de faire quelque chose qui peut me rendre heureuse", avoue-t-elle, soulignant que l’acceptation de la médiatisation n’a pas été un choix facile, mais un choix nécessaire pour s’épanouir pleinement dans sa carrière.