"J'ai jamais dit 'Va pleurer'" : Marlène Schiappa insultée ? Andrea Bescond rétablit sa vérité

La séquence avait fait grand bruit. Le 8 mars dernier, Marlène Schiappa et Andréa Bescond se sont lourdement écharpées sur le plateau de C ce soir. En effet, alors que les deux femmes évoquaient le sujet des violences conjugales. Mais voilà que le ton monte rapidement et quela secrétaire d'État menace même de quitter le plateau. "Il y a des femmes qui meurent, des femmes qui sont violées tous les jours, toutes les sept minutes il y a une tentative de viol," commence par dire la comédienne. "À votre place, honnêtement, je ne serai pas comme ça toute détendue en train de sortir un livre, vous voyez", lance la réalisatrice de Quand tu seras grand. En colère, la femme politique lui rétorque : "C'est une plaisanterie. Je trouve ça juste honteux, je suis désolée mais je ne vais pas rester sur ce plateau !". Et c'est à ce moment-là qu'Andréa Bescond aurait lancé un "va pleurer".

Or, la réalisatrice des Chatouilles affirme ne pas avoir insulté Marlène Schiappa. Invitée sur le plateau de C à vous, le lundi 24 avril, l'ex-compagne d'Éric Métayer a tenu à faire une mise au point importante. Interrogée une nouvelle fois sur cette séquence, elle a indiqué avoir simplement prononcé ces mots précis : "elle va pleurer", relevant à ce moment-là l'émotion dans la voix de Marlène Schiappa. "J'étais vraiment très choquée qu'elle réagisse de cette manière. J'ai toujours vouvoyé cette personne, je l'appelais 'Madame la ministre' quand elle m'appelait 'Andréa' et quand elle s'est levée et qu'elle a pété les plombs, j'ai fait : 'Elle va pleurer...' Je n'ai jamais insulté cette personne", conclut-elle.

Interrogée le matin même sur le plateau de Télématin, Andréa Bescond avait toutefois été très dure contre Marlène Schiappa et sa couverture en Une de Playboy. "Je pense que cette personne a besoin d'être très reconnue, très célèbre certainement. Je pense que Playboy n'est pas forcément le bon support", a-t-elle indiqué. Droite dans ses bottes, la cinéaste ne regrette en rien ses propos contre la femme politique.