"J'étais une allumeuse" : Arielle Dombasle raconte sa vie amoureuse avant Bernard-Henri Lévy

Arielle Dombasle est une artiste excentrique mais infiniment passionnée. On la connaît pour le couple qu'elle forme avec le philosophe Bernard-Henri Lévy, pour sa silhouette et ses longs cheveux lui donnant une allure de sirène ou encore pour ses rôles au cinéma, comme dans Un Indien dans la ville, qu'on peut voir sur TMC ce mercredi soir. Récemment, elle a dévoilé un film, Les Secrets de la princesse de Cadignan, sorti le 13 septembre dernier. Pour ce long métrage qu'elle a réalisé et dans lequel elle s'est offert le premier rôle, elle s'est confiée dans les pages du magazine Paris Match. L'occasion pour elle de faire des confidences sincères et envoûtantes, comme elle seule en a le secret.

Sa love story avec BHL fascine depuis des années, mais avant de conquérir le coeur de l'intellectuel français à la chevelure survoltée, Arielle Dombasle a connu une vie amoureuse très remplie. Voire trop ? Elle l'admet elle-même, ça a pu aller loin. Mariée en première noce avec le dentiste Paul Albou, âgé de trente-deux ans de plus qu'elle en 1976, elle a connu auparavant des amours adolescentes tumultueuses au Mexique : "J'étais ce qu'on appelle malheureusement une allumeuse. Avec les Mexicains, je suis passée à côté de catastrophes !"

Divorcée en 1985 de son premier mariage avec un époux dit "invisible", Arielle Dombasle écrit un nouveau chapitre de l'histoire de sa vie avec Bernard-Henri Lévy, à qui elle a dit oui le 19 juin 1993 à Saint-Paul-de-Vence sur la Côte d'Azur. Ils ont donc fêté leurs trente années de mariage, formant un couple à nul autre pareil. Pas d'enfant pour les amoureux, l'artiste parle librement de son non-désir de maternité comme elle l'a fait pour Marie-France : "Je n'ai jamais désiré être mère. C'est un luxe immense qui confère force, originalité et liberté... Mais prive de l'harmonie, de l'enveloppement de la famille."