Vendredi 24 avril, pendant que son mari Brad Pitt se blessait au visage en faisant une mauvaise chute, Angelina Jolie assurait le show au siège des Nations unies. Conviée par le Conseil de sécurité des Nations unies à New York, la star hollywoodienne engagée a haussé le ton et fustigé l'action de l'ONU dans le cadre de l'aide aux réfugiés syriens. L'ambassadrice de bonne volonté a notamment pointé du doigt l'impuissance de l'organisation à mettre fin au conflit, affirmant que "cette crise avait encore empiré à cause des divisions et de l'indécision qui empêchent le Conseil de sécurité d'assumer ses responsabilités". "La mission de l'ONU est de prévenir et de mettre fin aux conflits, or nous avons échoué" dans ce pays, a notamment lâché la star de Maléfique et réalisatrice d'Invincible. Imperturbable devant les ambassadeurs du monde entier, Angie a lancé un appel "à l'unité", le Conseil étant divisé entre Occidentaux d'un côté qui veulent faire pression sur Damas, et la Russie et la Chine de l'autre qui protègent le régime syrien.
Après l'ablation de ses ovaires pour prévenir les risques d'un cancer, Angelina Jolie (39 ans), est sortie plus forte que jamais de cette épreuve. Les récentes rumeurs faisaient état d'une adoption imminente, la star étant si engagée auprès des réfugiés syriens qu'elle aurait souhaité adopté un petit garçon prénommé Moussa. L'information a rapidement été démentie par l'entourage de la comédienne.
Angie était de retour à Los Angeles dès le 25 avril après son passage éclair à New York. Le visage fermé, l'épouse de Brad Pitt semblait moins souriante qu'à l'accoutumée. Accompagnée de Maddox, 13 ans et toujours enclin à l'accompagner dans ses voyages pour des raisons humanitaires et politiques, la belle avait également le soutien de son frère, James Haven. Le comédien de 41 ans emboîtait le pas à son illustre soeur, cachée derrière des lunettes de soleil lorsqu'elle a été accueillie par une armée de photographes à l'aéroport LAX.