Promotion marathon pour Capucine Anav ! Actuellement à l'affiche de la pièce de théâtre La Fève du samedi soir, qui se joue depuis le 28 septembre dernier à l'Apollo Théâtre à Paris, et à la tête de l'émission l'E-Sport European League sur C8, elle enchaîne les interviews pour le plus grand plaisir de ses fans. Aussi, c'est chez Europe 1 qu'elle s'est rendue ce jeudi 5 octobre 2017 pour répondre aux questions de Matthieu Noël et ses chroniqueurs dans Rien ne s'oppose à midi. Mais l'ancienne candidate de Secret Story ne s'attendait pas à vivre un moment fort en émotions.
Au début de son billet humoristique, le chroniqueur Guy Carlier a rappelé que vendredi dernier, il s'était moqué d'elle et de la pièce de théâtre dans laquelle elle joue. Après quoi, il a admis que Capucine Anav lui avait envoyé un SMS afin de lui faire part de son ressenti. Un message que la brune de 26 ans a lu à l'antenne.
"Bonjour Guy, votre chronique m'a beaucoup affectée même si je ne m'attendais pas à attirer un jour votre attention. Touchée, coulée. Oui j'ai pleuré. Je commence tout juste dans le milieu du théâtre qui me passionne, je travaille dur pour y arriver et j'essaie de donner tout ce que j'ai. Toutes les critiques me sont profitables surtout quand elles viennent de personnes aussi éclairées, cultivées et brillantes que vous", a débuté l'ancienne chroniqueuse de Touche pas à mon poste (C8).
Et de poursuivre : "Je voulais vous dire encore que les termes de votre chronique à mon égard étaient destructeurs (...). Je ne veux pas renier comme certains le font mes origines professionnelles issues de la télé-réalité. C'est grâce à elle que j'ai pu connaître ma petite notoriété auprès d'un jeune public. Et j'essaie d'utiliser cette chance intelligemment si vous m'autorisez à utiliser cet adverbe à mon égard."
Si Capucine Anav a réussi à retenir ses larmes jusqu'ici, elle a eu bien du mal à ne pas les faire couler lors du passage où elle explique que certaines personnes la condamnent avant même qu'un projet ne soit présenté : "Les jeux sont faits d'avance. J'ai le sentiment que, quoi que j'entreprenne, il y aura toujours... Il y aura toujours une élite intellectuelle qui traitera avec condescendance mon travail et mon public."
Très touché, Guy Carlier a pris la main de la jeune femme tout en lui assurant qu'il n'y avait aucun mépris dans sa chronique d'humour : "C'était juste une chronique d'humour un peu facile... J'en conviens, je me suis trompé." Des paroles qui ont à coup sûr réconforté Capucine.