Face aux journalistes de Voici, Elodie Fontan avait révélé les circonstances de sa rencontre avec son compagnon Philippe Lacheau. Ensemble depuis 2015, les deux acteurs étaient déjà en couple au moment de leur coup de foudre. Elle raconte : "Je suis partie en vacances en Martinique, et j'ai croisé Philippe là-bas. On était avec nos conjoints respectifs (...) On s'est super bien entendus, c'était très cool". Après six mois sans nouvelles, la comédienne reçoit finalement un appel de Philippe Lacheau.
Il souhaite faire d'elle la star de son prochain film. "Ça lui a donné l'idée de me proposer un rôle dans Babysitting 2. Je l'ai fait, et l'aventure était partie" confiait-elle. Interviewé dans l'émission Quelle Époque, le réalisateur du film Alibi.com avait d'ailleurs plaisanté sur son charme qui avait visiblement opéré dès les premiers instants sur Elodie Fontan. "Elle, elle l'a eu le premier jour le coup de foudre. Moi, je ne suis pas un garçon facile" avait-il révélé.
Parents d'un petit garçon prénommé Raphaël né en décembre 2019, Élodie Fontan et Philippe Lacheau sont plus amoureux que jamais. Le fait qu'ils aient le même métier est d'ailleurs un énorme avantage pour la comédienne qui confiait auprès du magazine Variations.
"Forcément, il y a du pour et du contre... D'arriver à se supporter toute la journée, ce n'est pas toujours simple ! On doit arriver à faire une place pour chaque chose. Le travail ne doit pas empiéter sur la vie personnelle. Sur la vie privée, je pense qu'il faut arriver à faire la part des choses et trouver un juste milieu, sinon ça ne fonctionne pas. Même si parfois, on est tous les deux enclins à s'envoyer chier, à se poser des questions... Néanmoins, travailler avec son conjoint, c'est aussi quelqu'un qui comprend vos enjeux et vos défis", avait-elle expliqué.
Maman poule, elle avait également confié qu'elle avait souvent redouté de créer une famille avec son métier. Elle révélait : "Je suis une maman très attachée à son fils (...) On m'a beaucoup répété que faire un enfant en étant artiste n'était pas vraiment conciliable, et que ces enfants étaient souvent malheureux et seuls. C'est quelque chose qui m'a longtemps effrayée et puis je me suis dit : 'Pas question que mon enfant vive ça'. Du coup, je pense que l'on doit faire ce que l'on ressent au fond de soi".