






À l'instar de Valérie Karsenti et Frédéric Bouraly (qui interprètent Liliane et José), Gérard Hernandez fait partie de l'aventure Scènes de ménages (M6) depuis la première saison, diffusée en 2009. Il interprète Raymond, un homme qui se crêpe le chignon avec sa femme Huguette (jouée par Marion Game). Mais cela ne veut pas dire que l'acteur de 90 ans a un compte en banque bien rempli. Et il l'a fait savoir le 20 janvier dernier, lors de son intervention dans Les Grosses Têtes, sur RTL.
La comédie n'est pas la seule passion de Gérard Hernandez. Il affectionne également particulièrement les courses hippiques et allait donc souvent en tribunes d'hippodromes pour en voir. Même s'il ne le montre pas, l'époux de Micheline est passionné par les chevaux. "J'ai commencé à l'âge de 5 ou 6 ans. Avec mes parents, nous habitions près de Longchamp. Un jour, mon père m'a emmené aux courses. L'atmosphère m'a tout de suite plu. Ça sentait bon", s'était souvenu la star de Scènes de ménages lors d'une interview pour Le Parisien, en 2012. Mais depuis, il s'est calmé comme il l'a confié au micro de Laurent Ruquier.
Je n'ai plus les moyens
L'animateur lui a demandé s'il jouait toujours aux courses. "Non pauvre petit, je n'ai plus les moyens. J'ai plus de chevaux, je n'ai plus rien [il a été parrain d'une écurie de l'Île de Ré et a possédé plusieurs chevaux, NDLR]", a répondu Gérard Hernandez sans langue de bois. Étonné, Laurent Ruquier a évoqué son salaire pour Scènes de ménages, qu'il pensait conséquent. "Enfin une paye, moi j'appelle ça une aumône", a alors plaisanté l'acolyte de Marion Game.
S'il a délaissé sa passion pour les chevaux, il ne semble pas près à mettre de côté celle de la comédie. Gérard Hernandez est toujours l'une des stars du programme de M6. Et cela ne semble pas près de changer. Certains téléspectateurs étaient inquiets de l'arrivée de Fanny Cottençon et Didier Bénureau (qui jouent Christine et Gilbert, un couple de sexagénaires récemment formé). Ils pensaient qu'ils allaient remplacer Huguette et Raymond. Mais la production les a vite rassurés.