Elle a été au coeur du mariage le plus glamour de 2014, mais, deux semaines seulement après s'être fait passer la bague au doigt par le célibataire le plus prisé d'Hollywood, à l'occasion d'une cérémonie grandiose orchestrée dans le cadre idyllique de Venise, Amal Alamuddin a retrouvé son costume de femme active et a renoué avec ses activités professionnelles. Et, comme en témoigne sa fiche descriptive sur le site Internet de son cabinet Doughty Street Chambers, c'est désormais sous le nom de Clooney que la sublime trentenaire officie désormais.
Sitôt sa lune de miel paradisiaque au côté de son mari George Clooney achevée, la superbe brune, avocate au prestigieux barreau de Londres, n'a ainsi pas tardé à se remonter à nouveau les manches et à plancher sur un épineux dossier. Chic et resplendissante, la renversante Britannique d'origine libanaise a ainsi fait une apparition remarquée à Athènes, en Grèce, où elle est actuellement en déplacement pour gérer un dossier particulièrement sensible : dépêchée sur place, la belle Amal tiendra dans les prochains jours toute une série de meetings en compagnie de son boss, Geoffrey Robertson QC, auprès du gouvernement grec pour guider ce dernier dans une querelle qui oppose depuis longtemps le pays à la Grande-Bretagne.
Historique, la querelle en question concerne les marbres d'Elgin, du nom de ces précieuses sculptures issues du mythique Parthénon qui furent transférées en Angleterre par Thomas Bruce, le 7e Comte d'Elgin, au XIXe siècle via un décret controversé et exposées depuis au British Museum de Londres.
Soucieuse de son patrimoine, la Grèce cherche aujourd'hui un moyen de récupérer ces oeuvres d'art, parties intégrantes du célèbre bâtiment qui domine depuis des siècles Athènes, du haut de sa légendaire colline. Ce n'est probablement pas un hasard total si Amal fait partie du staff qui se penche sur ce cas particulier. En février dernier, son désormais mari (alors en promotion pour son film The Monuments Men) s'exprimait en effet sur l'affaire à l'occasion d'une interview accordée dans le cadre du Festival du film de Berlin : "Je pense que ça ne serait pas une mauvaise que [ces sculptures] soient rendues. Cela serait une bonne idée, une chose juste à faire", déclarait en effet George Clooney.