La reine est de retour. Ce vendredi 27 janvier, Aya Nakamura, dont les places des prochains concerts se sont vendues comme des petits pains, sort son nouvel album baptisé DNK, consonnes de son vrai nom de famille Dianoko. La star de la scène française se dévoile bien plus que dans ses précédents opus. Et la maman de deux petites filles, Aïcha et Ava, n'a plus peur de montrer une autre facette d'elle-même que celle de la femme forte et quasi-inatteignable qu'elle avait dévoilée jusqu'à présent.
Au micro de Steven Bellery pour RTL, Aya Nakamura s'est confiée comme jamais. L'occasion pour elle d'en dire plus sur l'album et sur toutes ces choses intimes qu'elle s'apprête à délivrer à ses millions de fans : "Quand j'ai fait cet album, je me sentais plus Aya Dianoko qu'Aya Nakamura dans la vie réelle, confie-t-elle. Dès le départ, j'ai incarné la 'queen', la femme forte qui domine et qui contrôle les hommes, et les gens ont tout simplement oublié que j'étais aussi une femme sensible, avec ses craintes et ses peines, alors je voulais montrer ce côté de ma personnalité."
Dans DNK, Aya Nakamura parle d'amour, des bons comme des mauvais côtés : "Il faut surtout savoir que j'ai toujours utilisé mes blessures comme source d'inspiration." Parmi ces blessures justement, le comportement d'un ancien compagnon dont elle ne dévoile pas l'identité : "J'ai souvent été blessée et j'ai blessé en retour, j'ai déjà été trompée... On se fait du mal et ça fait partie de la vie. [...] Il voulait me cadenasser. [...] J'aime trop la liberté et c'est même pour cela que j'ai peur de me marier. J'ai envie d'être en couple, mais de quand même me sentir libre."
Si elle est célibataire depuis sa rupture d'avec Vladimir Boudnikoff, le père de sa seconde fille, - ils se sont retrouvés au tribunal hier au sujet de leur dispute qui a dérapé - Aya Nakamura ne s'en plaint pas. Elle ne manque du moins pas d'affection et d'attention de la part de ses innombrables fans qui lui donnent tout l'amour qu'elle mérite. Ce n'est pas pour rien qu'elle a obtenu la couronne de l'artiste la plus streamée : "Au début, elle était quand même dure à porter. On me l'a mise sur la tête comme ça et je n'ai rien demandé. Ce n'est pas moi qui me suis donné ce nom de 'queen' et c'était même un peu difficile au début. Je pense qu'on m'aime parce que je suis naturelle, sans filtre. On peut ne pas m'aimer, mais on ne peut pas dire que je suis formatée, diva je sais pas." Y'a pas moyen...