Cécile Rebboah, à retrouver ce soir sur France 2 dans L'École de la vie, met un point d'honneur à préserver sa vie privée de sa notoriété. Ainsi, il est presque impossible d'en savoir davantage sur elle. Mais le 3 mars dernier, l'actrice de 48 ans surprenait tout le monde en s'emparant de son compte Instagram et en postant une photo de son "fiston d'amour" à la plage. Un cliché sur lequel le petit garçon porte une serviette (ou un drapeau) aux couleurs du Brésil sur ses épaules. Mais ce qui semble avoir frappé les internautes sur cette image, c'est la ressemblance troublante entre cet enfant et sa célèbre maman.
"On dirait vous le mini-vous", "Vous ne pouvez pas le renier", "Il est vraiment très mignon et te ressemble", "Telle mère tel fils", "Ton clone", "La beauté! Il a de qui tenir", pouvait-on ainsi lire dans l'espace réservé aux commentaires. A noter que si nos confrères de Gala affirment que Cécile Rebboah "partage la vie d'un professeur d'histoire prénommé Matthieu", il reste cependant difficile de savoir s'il s'agit ou non du papa de cet enfant. Difficile également de savoir si cette relation est toujours d'actualité ou si elle appartient désormais au passé. Là où l'on connaît le mieux Cécile Rebboah, c'est bien entendu à la télévision.
Les téléspectateurs l'ont certainement déjà vu dans les séries Avocats et associés, Fais pas ci, fais pas ça, entre 2007 et 2017, mais également dans Lebowitz contre Lebowitz, entre 2016 et 2018, dans le rôle de l'avocate secondant Clémentine Célarié. Ou encore en tant que mère de Côme dans Les Bracelets rouges dans TF1. Sans oublier son rôle principal dans le téléfilm Itinéraire d'une maman braqueuse, qui avait été diffusé le 11 novembre 2019 sur TF1. Un long-métrage dans lequel elle incarne Laura, une femme qui quitte son compagnon qui la trompe, et qui veut offrir le meilleur à ses deux fils.
Un rôle qui lui a d'ailleurs demandé beaucoup de préparation. "J'ai vu beaucoup de documentaires sur le surendettement pour essayer de comprendre les parcours de ces femmes. Elles ont toutes des calculatrices dans la tête, elles comptent tout en permanence", avait-elle notamment confié au Parisien cette année-là, avant de déplorer le fait que ces mamans braqueuses "sont beaucoup trop nombreuses" et que l'on ne parle pas assez de "ces personnes isolées". Un "destin d'héroïne du quotidien" qui a "beaucoup plu" à l'actrice.