Révélée au grand public lorsqu'elle fut recrutée pour devenir la nouvelle Miss Météo du Grand Journal de Canal+ en 2010, Charlotte Le Bon s'est rapidement imposée auprès des téléspectateurs de la chaîne cryptée. Originaire de Montréal, l'ancienne mannequin a fait l'unanimité grâce à ses différents sketchs. Alors qu'elle avait prévu de quitter le programme au bout de seulement un an, la direction de Canal+ a insisté pour qu'elle reste une saison supplémentaire, en vain. Depuis son départ du Grand Journal, l'ancienne Miss Météo s'est imposée comme une figure récurrente du grand et du petit écran. En effet, Charlotte Le Bon a tourné dans de nombreux films et séries, que ce soit en France ou à l'international. Elle sera notamment au casting de la troisième saison de la fiction à succès baptisée The White Lotus.
Dernièrement, les spectateurs français ont pu la découvrir au sein du film intitulé Niki, dans lequel elle prête ses traits au personnage de Niki de Saint Phalle. Aujourd'hui, Charlotte Le Bon partage sa vie entre l'Europe et son Québec natal. En parallèle de sa carrière d'actrice, l'ancienne Miss Météo de Canal+ s'adonne à d'autres activités artistiques. Elle a notamment révélé au magazine Vanity Fair qu'elle se rendait régulièrement au sein de l'atelier Idem, situé en plein coeur du quartier de Montparnasse à Paris, où elle s'adonne à sa passion pour le dessin et la lithographie. En cette période proche des fêtes de fin d'année, Charlotte Le Bon s'est remémorée certains souvenirs de son enfance liés à la nourriture. "Tartes à la viande, ketchup maison, pommes de terre pilées, canneberges acides, dinde trop sèche, farce qui a le goût de tout et de rien, sauce brune, le gâteau aux fruits, la tresse à la cannelle, les beignets maison de ma grand-mère", a-t-elle notamment énuméré.
"Je ne suis pas matérialiste", a-t-elle aussi tenu à souligner. Si elle ne garde pas un très bon souvenir de sa carrière de mannequin, l'actrice reconnait néanmoins que sa vie serait bien différente aujourd'hui sans cela. "Malgré la solitude et la frustration que le métier de mannequin m'a fait vivre, je suis reconnaissante de ce qu'il a provoqué ensuite. C'est grâce au mannequinat que je suis venue à Paris et c'est ici que tout a commencé pour moi. C'était un passage obligé. En même temps, les passages qui piquent sont souvent les plus nécessaires", a-t-elle expliqué.