Revirement de situation. Evangeline Lilly, qui continuait de vivre sa vida loca en plein confinement, vient d'assurer au monde qu'elle restait désormais à la maison. Très récemment, sur Instagram, la comédienne expliquait qu'elle continuait à sortir librement avec ses deux garçons – de 8 et 4 ans – en pleine pandémie du coronavirus. Elle accusait entre autres, de manière cryptique, le gouvernement de profiter de la situation pour la priver de sa liberté. Mais voilà qu'elle fait volte-face dans une longue lettre rédigée sur les réseaux sociaux. "Je tiens à présenter mes sincères excuses pour l'insensibilité dont j'ai fait preuve vis-à-vis de la souffrance, de la peur que procure le Covid-19, écrit-elle. Des grands-parents, des parents, des enfants, des frères et des soeurs sont en train de mourir, la planète s'active pour faire cesser cette menace bien réelle."
Je n'ai jamais souhaité vous blesser
Afin de justifier ses petites sorties en famille, la comédienne de 40 ans a précisé qu'au moment de faits, le 16 mars 2020, les consignes étaient bien plus légères qu'elles ne le sont désormais. Seuls les regroupements de plus de 250 personnes étaient interdits dans sa région, et il était juste recommandé de se laver les mains régulièrement. Ce qui ne l'avait pas empêchée de définir le coronavirus comme étant "une simple grippe respiratoire", alors qu'il avait déjà décimé une partie du globe. "Je présente à nouveau mes excuses à tous ceux qui sont touchés par cette pandémie, poursuit-elle sur les réseaux sociaux. Je n'ai jamais souhaité vous blesser. Quand j'ai écrit ça, il y a dix jours, je pensais juste apporter un peu de calme en période d'hystérie." Raté.
En lisant les propos d'Evangeline Lilly, la planète entière – ou presque – s'est retournée contre elle. Certains anciens collègues de la série Lost, eux-mêmes ont souhaité se désolidariser de l'actrice, dont Maggie Grace, alias Shannon Rutherford. Cet événement est pourtant loin d'être isolé chez les célébrités. Enfermée chez elle, Vanessa Hudgens avait affirmé, de son côté, qu'il était inévitable que des gens meurent du virus, mais que c'était comme ça. L'enfermement ne réussit pas à tout le monde et les petites boulettes s'enchaînent. À qui le tour ?