Le confinement lié à la pandémie du coronavirus est compliqué pour tout le monde. Un peu plus pour certains que pour d'autres. Vanessa Hudgens, qui poste un nombre incalculable de selfies et de vidéos dans lesquelles elle danse pour combler l'ennui, a légèrement dépassé les bornes. Lors d'un live Instagram organisé le lundi 16 mars 2020, l'héroïne de la saga High School Musical a carrément clamé que tous ces efforts étaient "de la pure connerie". "Je suis désolée, mais c'est un virus. Je le comprends et je le respecte, a-t-elle expliqué. Mais en même temps... même si tout le monde l'attrape... oui, ok, des gens en mourront. C'est terrible mais c'est inévitable. Je ne sais pas." Comble de l'ironie, elle écoutait au même instant le titre Fever de Peggy Lee.
Ses mots ont sans doute dépassé sa pensée. En réalisant qu'elle venait de se mettre une partie du globe à dos, Vanessa Hudgens a tenu à présenter ses excuses sur les réseaux sociaux. Sur Instagram, l'actrice de 31 ans a expliqué que ses "remarques avaient été sorties de leur contexte" – admettons... – et que nous vivons une "période dingue". "Je suis sincèrement désolée d'avoir offensé certains d'entre vous qui m'ont vue en live sur hier, a-t-elle ajouté sur Twitter. Je réalise que mes mots étaient extrêmement indélicats et pas du tout appropriés à la situation que traversent notre pays et le monde en ce moment. Voilà qui me rappelle à quel point mes mots peuvent être importants pour vous, plus que jamais. Je vous envoie tous mes voeux, j'espère que tout le monde reste en sécurité, en bonne santé à la maison en cette période complètement folle."
Au rayon des nouvelles un peu plus réjouissantes, son ancienne collègue de tournage Ashley Tisdale – inoubliable Sharpay Evans – a lancé un mouvement de danse sur les réseaux sociaux, sur la cultissime chanson d'High School Musical : We're all in this together. Même Bart Johnson, qui interprétait le père de Zac Efron dans les trois films, s'est prêté au jeu. Quant à Vanessa Hudgens, elle avait fait de même... en se servant un verre de vin rouge au rythme du son de son adolescence. Ceci explique peut-être cela.