Douglas Kennedy est de nouveau un coeur à prendre. A l'occasion de la sortie en librairies de son nouveau roman intitulé La Symphonie du hasard (éditions Belfond, parution le 9 novembre 2017), l'écrivain de 62 ans fait l'objet d'un portrait brossé dans les colonnes du journal Libération. La carrière de l'Américain, ses racines familiales ou bien encore l'actualité politique y sont abordées, tout comme son "récent" retour au célibat. "Je vais ici et là", glisse-t-il, lui qui vagabonde toujours autant entre les Etats-Unis (New York) et l'Europe (Londres, Berlin).
L'année dernière, le célèbre analyste des couples en rupture s'était pourtant dit comblé en amour lors d'un entretien accordé à nos confrères de Voici. Après l'échec de son premier mariage avec Grace Patricia Carley, mère de ses deux enfants (Amelia et Max) dont il avait divorcé en 2009 après vingt-quatre ans d'union, le romancier avait évoqué son second mariage avec Christine Ury, psychanalyste québécoise basée à Montréal qu'il avait épousée en 2012. "C'est un deuxième mariage, on est contents, il n'y a pas de règle. Et j'ai décidé de ne plus accepter les situations malheureuses. La plupart du temps, le malheur est un choix, j'ai décidé de ne plus faire ce choix", avait-il alors confié.
Dans Libération, Douglas Kennedy a également donné des nouvelles de son fils autiste, Max, aujourd'hui âgé de 27 ans. Diplômé d'une grande école des Beaux-Arts, le jeune homme étudie à présent la photographie et tient un blog culturel sur le théâtre. "Il est indépendant, il voyage seul. Je pense maintenant que c'est possible qu'il ait une vie normale. Il a encore un assistant à l'université, mais il a une culture immense et une vraie discipline", avait expliqué l'écrivain l'an dernier. De son côté, sa fille Amelia "veut être actrice et rédige des nouvelles", concluent nos confrères de Libération.