Voilà déjà bientôt deux ans qu'Emilie a le bonheur d'être maman. Malgré une rupture amoureuse brutale avec le père de sa fille lorsqu'elle était encore enceinte, l'ex-candidate de Mariés au premier regard (2022) a certainement vu sa vie changer pour le meilleur au moment de rencontrer sa petite Lina. C'est donc tout naturellement qu'elle a prévu de la gâter pour ses 2 ans à venir.
En story Instagram mardi 3 janvier, la jolie brune a d'ailleurs confié avoir déjà reçu son cadeau qui lui a coûté une petite fortune. Et pour cause, il s'agit d'une voiture décapotable pour les enfants qui peut valoir plusieurs centaines d'euros. "Alors là, clairement, j'ai fait péter mon portefeuille, mais bon", a-t-elle avoué sans dévoiler le montant de sa folie. Mais quand on aime, on ne compte pas et Emilie est certaine que le jouet va plaire à sa fille. "Je sais que Lina raffole des voitures. Elle adore ! À chaque fois qu'on va dans un centre commercial elle veut aller dans les petites voitures. Donc, coup de coeur, c'est mon bébé, je lui fais plaisir. Moi je ne m'achète rien, donc à elle, je peux acheter", s'est-elle justifiée.
L'enfant n'aura toutefois pas le loisir de s'amuser avec la voiture au quotidien comme l'a ensuite expliqué l'ex-femme de Frédérick ! "Je ne vais pas laisser la voiture chez moi. Je n'aurais pas assez de place en appartement. Donc la voiture sera chez mamie, dans un garage. Et si ce n'est pas chez elle, ce sera chez un membre de la famille qui, lui, a un garage. Et on la prendra sûrement en été, parce que là en hiver, faire des tours de voiture, ça ne va pas être trop ça."
Emilie a en tout cas réalisé un gros écart en achetant ce cadeau à sa "Linette" comme elle la surnomme, alors même que les temps sont durs. Au mois de septembre dernier, elle confiait en effet avoir perdu son travail dans l'immobilier suite à sa participation à Mariés au premier regard. Elle s'est alors lancée dans les placements de produits et l'influence sur les réseaux sociaux mais cela ne l'aide pas forcément à sortir la tête de l'eau. "Là, aujourd'hui, avec ce que je fais en placement de produit, je ne pourrais même pas payer la moitié de mon loyer. Avant, je travaillais dans l'immobilier, je gagnais correctement ma vie et là, c'est tout à fait l'inverse. Je gagne deux fois, trois fois moins", assurait-elle, précisant ne percevoir aucune pension alimentaire.