Halle Berry sublime avec Olivier Martinez : L'amour leur donne des ailes

L'amour donne des ailes aux carrières de Halle Berry et Olivier Martinez. Alors que la belle actrice de 46 ans prépare un retour flamboyant dans la fresque épique et démesurée Cloud Atlas avec Tom Hanks, son fiancé français enchaîne les films après plusieurs années passées sous les radars. En première place, la websérie Cybergeddon créée par Anthony E. Zuiker (Les Experts) où il incarne un méchant cybercriminel.

Nouveau terrain d'expérimentation après les chaînes câblées, les webséries attirent les esprits aventureux fascinés par les dérives de la modernité. Alors que le mystérieux H+ de Bryan Singer (X-Men, Usual Suspects) racontera comment un internet futuriste décime l'espèce humaine, le scénariste et producteur des Experts et ses spin-off s'essaye au format avec Cyberdeggon. Pensé dans un premier temps pour la chaîne CBS, la série a ensuite été remaniée, discutée comme un film avant d'être retaillée pour une diffusion sur le web. Un procédé parfaitement adapté à cette histoire de deux policiers spécialisés en cybercriminalité qui traquent un homme avec l'aide d'un hacker. Missy Peregrym incarne l'héroïne de la websérie face au méchant Olivier Martinez.

Au premier de la scène hollywoodienne avec Infidèle (2002) ou encore Taking Lives (2007) avec Angelina Jolie, Olivier Martinez a disparu des écrans plusieurs années avant son rôle dans le film inédit Dark Tide de John Stockwell. C'est là qu'il a rencontré Halle Berry, mère de Nahla à laquelle il se fiance en mars 2012. Il tourne actuellement The Physician avec Ben Kingsley et Stellan Skarsgård, avant Deauville avec Claire Forlani et Isabella Rossellini. Pour sa part, Halle Berry se remettra certainement des contre-performances de ses derniers films avec l'épopée Cloud Atlas réalisée par Tom Tykwer, Andy et Lana Wachowski, récit entrecroisé de plusieurs destins à travers le temps et l'espace. Elle a récemment bouclé le thriller The Hive avec Abigail Breslin, avant la comédie Shoe Addicts Anonymous.

Le mystère Cybergeddon commence ici.