Jason Biggs et son épouse Jenny Mollen agrandissent la famille. Selon les informations du magazine Us Weekly, l'actrice de 38 ans a donné naissance au deuxième enfant du couple, un petit garçon prénommé Lazlo. Le bébé, qui pèse 3,17 kilos et mesure 50,8 centimètres est né le 2 octobre à l'hôpital de Lenox Hill, à New York, il rejoint son grand frère Sid (3 ans et demi).
Très actif sur les réseaux sociaux, les jeunes parents ont publié plusieurs clichés de leur passage à la maternité, dévoilant le déroulé des événements. Sur Instagram, Jenny Mollen a également documenté leur retour au domicile familial à bord d'un taxi. Et c'est justement dans l'une des vidéos publiées sur sa story que la comédienne a annoncé son intention de manger son placenta, une pratique de plus en plus fréquente pour les jeunes mamans aux États-Unis.
Inspiré par la déclaration de sa femme, le comédien de la saga American Pie a annoncé qu'il comptait faire de même. "J'ai vraiment hâte d'essayer", a-t-il glissé. Alors, blague calculée ou volonté réelle de se prêter à une expérience étrange ? Difficile à dire avec deux personnalités aussi déjantées que celles de Jason Biggs et Jenny Mollen...
D'après le Daily Mail, qui a contacté plusieurs experts, les hommes ne devraient "jamais" manger le placenta de leur compagne pour des raisons sanitaires évidentes. Cette démarche pourrait en effet provoquer des infections bactériennes graves. Aux États-Unis, la placentophagie est une pratique de plus en plus courante. Le placenta est broyé, séché avant d'être réduit en poudre et d'être consommé en pilule. Selon certains, il permettrait d'augmenter la production de lait et de réduire les risques de baby blues, bien ce que cela n'ait jamais vraiment été prouvé scientifiquement.
En décembre 2015, soit quelques jours après la naissance de son fils Saint (21 mois), Kim Kardashian s'était également exprimée sur ce sujet, révélant qu'elle avait fait le choix de transformer son placenta en pilules à ingérer. "J'ai entendu tellement d'histoires, quand j'étais enceinte de North, de mères qui n'avaient pas mangé le placenta lors de leur première grossesse et qui ont souffert de dépression postpartum. Quand elles ont pris les pilules de placenta avec leur deuxième enfant, elles n'ont pas fait de dépression. Je me suis dit, pourquoi ne pas l'essayer ? Qu'est-ce que j'ai à perdre ?", avait-elle déclaré sur Twitter.