Papa d'une petite Jeanne depuis le 4 décembre 2015, fruit de son amour pour Nathalie Péchalat, Jean Dujardin est également le père de deux garçons bien plus âgés, Jules (16 ans) et Simon (17 ans), dont la mère est Gaëlle. Père de famille discret, l'acteur de 45 ans ne s'épanche pas souvent sur sa progéniture, dont il ne publie aucune photo et qu'il n'expose pas sur les tapis rouges. Dans Paris Match, il a toutefois évoqué sa relation avec la paternité, le fait d'avoir eu deux garçons après avoir été lui-même entouré d'hommes dans son enfance et la manière dont l'arrivée de Jeanne a tout changé.
"Je ne l'aurais jamais espérée [l'arrivée d'une petite fille, NDLR], a-t-il reconnu dans Paris Match. Je ne compare avec mes garçons. Eux sont des piliers, le concept de fille, c'est autre chose. C'est... formidable ! L'amour qu'on donne, je ne savais pas qu'il pouvait être exponentiel, que ça prendrait tant de place, que ça enfle de jour en jour, de semaine en semaine. C'est complètement fou, je deviens débile." Pour sûr, Jean Dujardin est un papa gaga !
Dans cette même interview, il a avoué être "très affectueux", à l'inverse de son père Jacques qui était plus autoritaire. Un manque d'affection dont le petit Jean a souffert, sans que cela ne devienne toutefois un traumatisme. "Sans doute que ça ne se faisait pas, que dans cette famille de garçons une forme de pudeur s'était installée, avance-t-il comme explication. Je n'en veux absolument pas à mes parents. Peut-être même que ça m'a poussé à devenir ce que je suis."
Jean Dujardin n'est pas celui qui crachera sur la famille. Elle est trop importante. À commencer par sa relation avec son grand frère Marc, qui est également son agent. "Je sais que mon frère ne me parlera pas pour rien pendant trois heures, je sais qu'il ne me dira pas ce que je dois faire. Il n'est pas là pour me complimenter, me caresser dans le sens du poil, je n'en ai pas besoin, assure Jean. Au sein de notre famille, il a toujours été extrêmement influent. Il nous conseillait, comme un guide. (...) Moi, il me rassure. Lui, en tant qu'agent, s'épanouit aussi. Tout le monde y trouve son compte."
Interview à retrouver en intégralité dans Paris Match du 8 février 2018.