Juliette Binoche a craqué pour la même ville méconnue des Hauts de Seine que Julien Clerc

La bonne épouse, c'est ce lundi 9 décembre, à 21h05 sur France 3. Le synopsis ? Depuis des décennies l'école ménagère de Boersch en Alsace se donne pour mission de former ses jeunes élèves à devenir des épouses modèles. Cependant, à la veille de mai 68, la tâche se complique pour la directrice, Paulette Van der Beck. Un rôle incarné par Juliette Binoche, qui est d'ailleurs la personne qui nous intéresse ici. 

En effet, restons concentrés sur l'actrice de 60 ans quelques instants, notamment sur cette ville méconnue des Hauts de Seine où elle a élu domicile avant de revenir à Paris. Il s'agit de Vaucresson, une commune de 8 600 habitants située entre Versailles et Saint-Cloud, qui jouit d’une grande tranquillité et de la proximité directe avec la forêt. En 2009, dans les pages de l'Express, on en apprenait davantage sur sa maison et sa déco. 

Dans sa maison qualifiée de "pavillon" d’un point de vue architectural, on trouvait des "fauteuils en velours rouge" ainsi que des étagères encombrées de livres et de disques de musique classique. Mais aussi un miroir d’inspiration marocaine et beaucoup de souvenirs… Dans son bureau : une armoire en bambou dorée cohabitant avec des assises en bois et un élégant revêtement brodé en soie rouge. 

Julien Clerc a lui aussi choisi de s'y installer. "Je suis content d'être à Vaucresson, il y a des marchés, on est entouré de bois. Nous avons adoré les parcs dans Londres et on ne se voyait pas revenir dans Paris.", avait expliqué le chanteur au Parisien, lui qui s'y est installé il y a quelques années déjà avec sa femme Hélène Gremillon et leur fils Léonard, après avoir vécu de l'autre côté de la Manche.

À Vaucresson, qui est pour rappel classée dixième ville de France en termes de contribution à l'impôt sur le revenu par foyer fiscal, Julien Clerc a craqué pour une belle bâtisse bourgeoise dotée d'un grand jardin et d'un court de tennis. Bref, la belle vie. Précisons pourtant qu'il avait jusqu'ici en "horreur" la banlieue. "Je n'en avais que le souvenir de mon enfance à Bourg-la-Reine (Hauts-de-Seine), au lycée Lakanal…". 

Mais il semble donc avoir changé d'avis depuis.