Kim Kardashian braquée, Karl Lagerfeld réagit : "On n'étale pas sa richesse"

La Fashion Week continue de battre son plein dans la capitale française. Mardi 4 octobre, la maison Chanel dévoilait ainsi les pièces de sa collection de prêt-à-porter pour la saison printemps-été 2017 lors d'un sublime défilé organisé au Grand Palais.

À l'issue du show, le directeur artistique de la prestigieuse marque, Karl Lagerfeld, a été amené à s'exprimer notamment au sujet de Kim Kardashian. Victime d'un braquage à main armée dans la nuit du dimanche 3 octobre, la vedette de télé-réalité s'est fait voler pas moins de 10 millions de dollars de bijoux. Elle était seule dans la résidence privée louée pour la période de la semaine de la mode, son garde du corps, Pascal Duvier, ayant accompagné ses soeurs Kourtney et Kendall Jenner lors d'une sortie au club L'Arc.

Je ne comprends pas pourquoi elle était dans un hôtel sans sécurité

Connaissant très bien la famille Kardashian-Jenner (Kendall est l'une de ses muses fétiches), le Kaiser de la mode a estimé auprès de l'AFP que cette agression était "très mauvaise pour l'image de Paris", tout en jugeant incompréhensible le choix de l'épouse de Kanye West de descendre dans une résidence de luxe sans sécurité. "Je ne comprends pas pourquoi elle était dans un hôtel sans sécurité. Quand vous êtes aussi célèbre et que vous montrez vos bijoux sur le net, vous allez dans des hôtels où personne ne peut s'approcher de votre chambre. Il faut voir à quelle époque on vit, on ne peut pas étaler sa richesse et ensuite être surpris que des gens veuillent la partager !", a-t-il déclaré. La veille, le créateur allemand avait toutefois apporté son soutien à la jeune maman sur les réseaux sociaux en posant à côté d'un message manuscrit. "Chère Kim, nous sommes tous avec vous. Amitiés, Karl", était-il posté sur le compte Instagram du magazine de mode V.

Des propos qui rejoignent ceux de l'ex-garde du corps de la star de 35 ans, Steve Stanulis, qui expliquait que cette agression n'avait rien de "surprenant" et qu'elle aurait pu être évitée si ses anciens employeurs se montraient plus sérieux au sujet de leur propre sécurité.

S.L