À côté de lui, le bobsleigh ressemblerait à du curling. Voilà ce que répond M4GIC lorsqu'on lui demande, au jeu du portrait chinois, quel sport il pourrait être. Trop dur, trop bon, trop rapide, trop fort, difficile pour le phénomène du moment de trouver adversaires ou défis à sa taille.
Aussi rapide que marrant, il croyait il y a quelque temps avoir enfin trouvé un challenge intéressant en se mesurant à celui qu'on qualifie d'homme le plus rapide de la planète, Usain Bolt. En vain. M4GIC eu le temps de bouquiner sur sa tablette tactile les 700 épisodes du comics Spider-man en attendant que le sprinteur jamaïcain franchisse la ligne d'arrivée à son tour. Désolé de faire de l'ombre à Chuck Norris, qu'il admire, il a également été navré de découvrir que Zlatan Ibrahimovic, le buteur du PSG, qu'il considère comme un "monument parisien", ne faisait pas le poids face à lui en matière de cote médiatique, et ce malgré son statut de champion du web.
Car, à 29 ans, M4GIC a été homologué dans le Guinness Book comme le plus fréquent TT ("Top Twitt", sujet à la mode) mondial sur Twitter, notamment grâce à son invention du #OLD. Plus jeune individu à passer le mur du son, du temps où il était encore à l'école, on lui doit une foule d'autres performances géniales, inédites et inégalables : recordman du nombre de G contenus dans une même phrase ; auteur de la cover la plus rapide du tube dance I'm a Scatman, avec une élocution parfaite ; champion du monde de "ni oui ni non" ; recordman du web du part4Ge de photos sur Instagram ; meilleur imitateur de Mario, héros de Nintendo, dix ans après avoir été sacré champion du monde de MarioKart ; gagnant haut la main des championnats de finger-dance retransmis en streaming sur Internet ; air guitariste le plus rapide au monde ; champion intercontinental de récitation des dialogues des albums de Tintin en partant de la fin et en huit langues ; pionnier des loopings en wingsuit ; élu meilleure moustache-cut de l'histoire devant ses idoles Charlie Chaplin, Chuck Norris, Magnum ou encore Borat...
Et il ne compte pas en rester là...