Meghan Markle : Son père avoue avoir été "jaloux" du prince Charles

Thomas Markle n'en finit plus de régler ses comptes à distance avec sa duchesse de fille. Le 22 janvier 2020, la chaîne de télévision britannique Channel 5 a diffusé un documentaire événement sur le père de Meghan Markle. Un film de 90 minutes dans lequel l'Américain de 75 ans s'est montré tantôt virulent à l'égard de sa fille et son mari le prince Harry, tantôt émotif.

Le retraité, ancien chef éclairagiste à Hollywood, a reçu les caméras chez lui, dans sa maison de Mexico. Il n'a plus vu sa fille depuis qu'il a mis en scène une fausse paparazzade et manqué le mariage royal célébré en mai 2018 à Windsor. Juste avant les noces, Thomas Markle a été victime d'une crise cardiaque et n'a donc pas pu effectuer le voyage jusqu'en Angleterre. Comme des millions de spectateurs, c'est finalement derrière son poste de télévision qu'il a assisté au mariage de Meghan Markle, escortée jusqu'à l'autel par le prince Charles.

Selon son propre aveu, il a été "jaloux" du prince de Galles : "Ma fille était magnifique. J'aurais aimé être là pour elle. J'ai certainement apprécié que Charles soit là. J'admets que j'en ai un peu pleuré un peu. Aujourd'hui encore, je ne peux oublier ce moment." Également absent pour la naissance du petit Archie en mai 2019, c'est dans sa voiture qu'il a appris l'heureuse nouvelle : "C'est presque une blague. Je ne l'apprends pas au téléphone, je l'entends à la radio."

Si certains passages de cette interview étaient placés sous le signe de l'émotion, c'est en revanche avec hostilité que Thomas Markle a commenté le Megxit : "Ce n'est pas la fille que j'ai élevée (...). Quand ils se sont mariés, ils ont pris un engagement, et l'engagement est de faire partie de la famille royale et de représenter la Couronne, a-t-il affirmé, faisant ainsi référence à la décision des Sussex de prendre leurs distances avec la monarchie pour devenir indépendants financièrement. C'est l'une des plus grandes institutions de tous les temps. Ils la détruisent, ils la dévalorisent, la rendent minable..."