Depuis 2016, Yann Barthès fait les beaux jours de TMC en étant aux commandes de l'émission Quotidien. Ce soir, il s'apprête d'ailleurs à décerner une nouvelle fois les Q d'or de l'année. Toujours très professionnel, l'animateur de 48 ans n'éprouve aucune difficulté à parler de sa carrière ou de ses projets professionnels futurs. En revanche, il se veut bien plus silencieux sur sa vie privée et son cadre familial. Conscient que certains détails pourraient être déformés ou que ses proches pourraient être exposés, il préfère garder ce pan de sa vie sous clé.
Agacé d'être toujours questionné sur son intimité, Yann Barthès n'hésite plus à remballer les médias trop curieux. Interrogé par nos confrères de TV Magazine en 2019, le présentateur avait été très clair sur la question de savoir pourquoi il était aussi discret. "Parce que ça suffit de donner nos images, nos données personnelles et nos vies entières aux GAFA ! Je parle deux heures par jour à la télé, c'est déjà pas mal, non ?", expliquait-il alors. À l'heure où la plupart des personnalités s'affichent sans retenue sur les réseaux sociaux, Yann Barthès, lui, préfère rester loin de tout ça. Une décision qu'il ne regrette pas et à laquelle il ne compte en aucun cas remédier.
J'aurais aimé être comme les Daft Punk
Son intimité, Yann Barthès y tient tout particulièrement. Conscient d'évoluer quotidiennement dans un monde de requins, il met donc un point d'honneur à ne jamais se dévoiler. "La discrétion est la chose la plus précieuse au monde pour moi ! Surtout dans ce métier, qui n'en a absolument aucune... J'aurais aimé être comme les Daft Punk. C'est le top d'être connu sans être reconnu. On ne se rend pas compte de la chance qu'ils ont...", a-t-il ensuite ajouté.
Seuls les métiers de ses parents sont connus à ce jour. Son père était cheminot et sa mère travaillait dans un office notarial. Concernant ses relations amoureuses et sa vie de famille, on ne sait absolument rien... Il s'agit donc d'un secret très bien gardé qui permet à l'animateur de vivre tranquille une fois les caméras coupées et les photographes éloignés...