"Comme tous les idiots pessimistes..." : le grand regret de Niels Schneider, compagnon de Virginie Efira

Sept ans après avoir reçu le César du meilleur espoir pour Diamant noir, Niels Schneider a répondu aux attentes que l'on mettait en lui. Le jeune homme est désormais un trentenaire incontournable des écrans et il se fait une nouvelle fois remarquer avec la série Le monde n'existe pas, un an après avoir brillé dans une autre, D'argent et de sang. Pour la promotion de cette fiction policière, le compagnon de Virginie Efira et père de leur petit Hiro a répondu aux questions de Madame Figaro.

Parmi celles-ci, celle de l'autre carrière qu'aurait pu mener Niels Schneider s'il n'avait pas été comédien. Il aurait pu être journaliste comme son personnage dans Le monde n'existe pas : "J'aurais adoré l'être en tout cas. Le travail de recherche m'intéresse, tout comme creuser des suejts. La phase de préparation d'un rôle est d'ailleurs une des étapes qui m'enchante le plus dans mon métier."

Toutefois, plus jeune, il s'imaginait dans une voie totalement différente et révèle un grand regret qu'il n'est pas le seul à avoir : "Vers 13-14 ans, j'étais fan de sports comme le BMX ou encore le skate et le snowboard, que je pratiquais mais je n'avais pas les talents pour devenir pro. J'ai d'ailleurs bien regretté d'avoir quitté Paris cet été comme tous les idiots pessimistes et d'avoir raté les JO."

Niels Schneider est loin d'être le seul à avoir eu ce sentiment. Le Figaro était allé à la rencontre de ces Parisiens qui ont fui Paris à l'heure des JO lui préférant la Grèce. "Je me dis que j'aurais dû y être, que j'ai raté quelque chose", avait confié un touriste parisien venu en Méditerranée. L'amoureux de Virginie Efira a-t-il mis en location son appartement comme tant d'autres ? On ne le saura pas mais nombreux sont ceux à avoir été finalement conquis par la cérémonie d'ouverture et l'esprit de ces Jeux organisés en France, et à avoir regretté de ne pas avoir acheté des places au moment opportun. Sur franceinfo, une jeune femme n'avait pas caché son enthousiasme survenu sur le tard : "Par ailleurs, là, le fait que ça se passe dans notre pays, cela donne envie de supporter les athlètes français dans tous les sports."