Il y a deux dates qui ne cessent d'être repoussées : la fin du confinement et celle de la tutelle de Britney Spears. Depuis 2008, la chanteuse est effectivement surveillée comme le lait sur le feu. Une personne est légalement en droit de restreindre ses visiteurs, de réduire ses traitements médicaux, de remplir une procédure d'éloignement en son nom ou encore d'avoir accès à ses antécédents psychiatriques. Jusqu'à présent, c'est son père qui s'en occupait... jusqu'à ce qu'une certaine Jodi Montgomery, gestionnaire de soins, ne prenne la relève en septembre dernier. Et l'histoire n'est pas près de prendre fin puisque le juge vient de la prolonger officiellement jusqu'à la fin de l'été, le 22 août 2020, selon les informations du magazine People.
Cette décision fait suite aux récentes crises de Britney Spears. Pour rappel, la chanteuse a été prise en charge par un hôpital psychiatrique au printemps 2019 et un flou artistique règne sur son traitement médical puisque son médecin est mort récemment d'une rupture d'anévrisme. Quant à Jamie, le père de la jeune femme, il a préféré abandonner toutes ces responsabilités "pour des raisons de santé personnelles". Il a frôlé la mort en février 2019, victime d'une rupture spontanée du colon. Conduit en urgence à l'hôpital de Las Vegas, il a heureusement survécu à cette mésaventure... ce qui ne l'empêche pas d'avoir besoin de repos.
À l'origine, cette nouvelle tutelle ne devait être que temporaire. Il va falloir que Jodi Montgomery s'accroche. Quand elle ne poste pas soixante-douze fois la même photographie d'elle-même sur son compte Instagram, Britney Spears provoque des incendies à domicile et en parle en toute détente sur les réseaux sociaux avant de se lancer dans ses séances de sport. Confinée sans son compagnon Sam Asghari, l'Américaine attend patiemment de pouvoir retrouver son homme, partageant de curieuses vidéos du couple en plein playback pour tuer le temps. Vivement les retrouvailles...