En mai 2015, Carole Rousseau avait été entendu par la police au commissariat du 1er arrondissement de Paris au sujet d'une bagarre qui avait éclaté à propos d'une place de parking. Alors qu'elle devait emmener son fils aux urgences pour une blessure, l'animatrice de TF1 était repassée par son bureau. Elle avait alors découvert que sa place de parking était occupée par une camionnette d'ouvriers. Alors qu'elle demandait à ce que le véhicule soit déplacé, elle avait dû faire face à une femme qui – selon des témoins – l'avait insultée. De là, le ton est monté et elles en sont finalement venues aux mains, se tirant les cheveux et s'échangeant quelques claques.
Deux ans après les faits, le verdict est tombé. Comme l'ont rapporté nos confrères du magazine Closer, Carole Rousseau a ainsi écopé le 22 juin dernier d'une amende. Elle a été condamnée à payer 1400 euros pour violences sur une secrétaire, dont 1000 euros au titre de frais de justice. Plus encore, l'animatrice de 49 ans a reçu une amende de 1300 euros pour outrage à agent de la force publique. Cette somme compte 500 euros de frais de justice.
Vendredi 30 juin 2017, Muriel Piquet, avocat de Carole Rousseau, a fait appel de sa condamnation du 22 juin 2017.
"Évidemment que ce n'est pas bien de donner une gifle.
Mais quand on rend une gifle, c'est-à-dire après en avoir reçue une, cela s'appelle de la légitime défense ou un réflexe compréhensible.
Comment Carole ROUSSEAU a-t-elle pu être condamnée, alors que les deux protagonistes avaient reçu un rappel à la loi réciproque, ce qui signifie que l'on ne sait pas qui a donné la première gifle ?
De même que l'on relèvera qu'un article du Parisien du lendemain des faits précisait que 'selon des témoins' la propriétaire des lieux est arrivée et 'aurait commencé à insulter l'animatrice'.
Quant à l'outrage qui s'en est soi-disant suivi au commissariat, la contractuelle qui en aurait été victime a d'abord déclaré ne pas avoir entendu être insultée.
Tout comme elle a ensuite déclaré avoir porté plainte, plusieurs jours après, en se prévalant du témoignage de deux de ses Collègues.
Dont l'un d'eux est l'adjoint direct du chef de brigade du commissariat.
Chef de brigade condamné il y a quelques années pour violences policières (et ce n'était pas la première fois) après avoir tabassé, en le traitant selon l'enquête de 'négro', 'trou du cul', un salarié de Carole ROUSSEAU et contre qui elle avait témoigné.
Il serait peut-être judicieux que l'Inspection générale de la Police nationale se penche sur cette affaire.
Pour ma part, j'ai fait appel du jugement."