Les longues courses au ralenti sur le sable des plages de Malibu, c'est terminé. David Charvet a tout simplement décidé de quitter la planète Hollywood... et de changer de voie professionnelle. La raison principale de ce déménagement, c'est la famille. Papa de deux enfants, Heaven, 15 ans et Shaya, 14 ans, qu'il a eus avec son ex-femme Brooke Burke – elle s'est fiancée, en septembre dernier à son nouveau compagnon agent immobilier Scott Rigsby -, le comédien le plus français des Amériques a eu envie de se rapprocher de ses enfants. Enfin.
Je voulais rester à la maison, être un bon père
Il les a longtemps délaissé pour les biens de sa carrière d'acteur. Auprès de Page Six, David Charvet avoue avoir envie de se réinventer et de, finalement, être "le père qu'il a toujours voulu être". "Ça veut dire mettre ses enfants au lit tous les soirs, se réveiller quand eux se réveillent, résume le beau gosse de 49 ans Juste avant d'avoir mon aîné, j'avais voyagé pendant cinq ans dans 42 pays différents pour donner des concerts. C'est quelque chose que je ne pourrais plus faire. Je veux que ma vie prenne un sens différent. Je n'avais même pas envie d'aller au Canada pour tourner une émission, de traverser l'Europe pour la musique. Je voulais rester à la maison, être un bon père. Je voulais être là chaque jour pour mes enfants."
Heaven et Shaya sont désormais adolescents mais ils pourront gérer cette période un peu compliquée avec la complicité de leur papa. David Charvet ne devrait, a priori, plus tourner dans des films ou des séries ni même sortir d'album. Ses nouvelles ambitions ? Construire des maisons à Los Angeles. Une révélation qu'il a eue, en 2006, alors qu'il s'occupait de sa nouvelle demeure à Malibu. Mécontent du travail de ses prestataires, il avait viré tout le monde et géré le chantier de A à Z avec l'aide d'un manager de projets. "On a terminé la maison et tous les gens que j'invitais me disait 'Oh mon Dieu, cette maison est incroyable. Tu crois que tu pourrais le refaire ?'" D'Alerte à Malibu à La fête à la maison, il n'y avait donc qu'un pas...