En entrant dans l'univers (merveilleux ?) des Miss, Iris Mittenaere ne s'attendait sûrement pas à découvrir l'envers du décor, parfois scabreux, de ce monde apriori fait de paillettes et de foires provinciales. Personnalité publique depuis son élection en 2016, l'ancienne Miss France a poussé un violent coup de gueule contre les personnes qui s'amusent à lui envoyer des messages salaces, des images pornographiques ou pire, des menaces de viol sur les réseaux sociaux.
Le 13 septembre 2020, elle écrit dans sa story Instagram : "Je reçois plusieurs fois par jour ce genre de messages. J'essaye de ne pas y faire attention mais ils ne devraient jamais être envoyés !" À bout de nerfs, Miss Univers 2016 révèle qu'elle n'est pas la seule à être la cible de ce genre de harcèlement mais que son chéri Diego et sa mère Laurence Druart reçoivent également ce genre de messages. "Quand les menaces atteignent même mon compagnon ou ma mère (oui nous avons déjà reçu chez ma mère des courriers de menaces) personne n'en parle, mais ce n'est pas normal." commente-t-elle, choquée via sa story Instagram.
J'ai encore deux organes masculins au réveil
Déterminée à arrêter ce genre de personnes, l'ancienne candidate de Danse avec les stars a même lancé un appel à tous ses abonnés victimes de harcèlement sexuel et/ou de menaces et invite ceux qui le souhaitent à lui envoyer leurs expériences sur le sujet. Rapidement, la jeune femme de 27 ans a publié en story les nombreux messages reçus par ses followers (tous plus exotiques les uns que les autres). "J'ai encore deux organes masculins au réveil" écrit l'une d'entre elle, "Demain je vous donne 250 euros et vous me giflez ?" partage une autre abonnée,... Des messages et des histoires qui ont le don d'exaspérer Iris qui a fait savoir qu'elle comptait bien ne plus se laisser faire et porter plainte contre ce genre d'agresseurs. "Semaine prochaine je vais commencer à agir. Le harcèlement n'est pas impuni. Les menaces de viol non plus. J'ai vos profils." avait-elle déclaré le 12 septembre 2020. À bon entendeur...