Alors que les Jeux Olympiques de Paris 2024 approchent à grands pas, les derniers préparatifs de la cérémonie d'ouverture sont actuellement en train d'être passés en revue. Le comité d'organisation a vu les choses en grand pour cet événement qui se déroulera au sein de la capitale française le 26 juillet 2024. Ce jour-là, plusieurs artistes auront l'honneur de se produire durant la cérémonie. Cependant, certaines vedettes contactées dans ce cadre ont tout simplement refusé de participer à l'ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024. C'est notamment le cas du chanteur Gims . "On me l'a proposé", a-t-il indiqué dans une récente interview accordée au média belge Ciné Télé Revue.
"J'aurais pu le faire, mais ce n'était pas ma volonté. J'ai déjà eu la chance d'interpréter l'un des hymnes du Mondial de football 2022, lors de la cérémonie de clôture. Je pense qu'on ne peut pas faire plus gros. Je ne veux pas être partout", a-t-il souligné afin d'expliquer les raisons de son refus. Pour mémoire, le journal l'Express avait révélé il y a quelques mois que la célèbre chanteuse française Aya Nakamura allait se produire durant la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris. Un choix qui fut très loin de faire l'unanimité. Suite à cette révélation, la musicienne franco-malienne a fait l'objet de nombreuses attaques racistes.
"Vous pouvez être racistes mais pas sourds... C'est ça qui vous fait mal ! Je deviens un sujet d'état numéro 1 en débats etc mais je vous dois quoi en vrai ? Kedal", avait répondu l'artiste aux critiques d'un groupe identitaire. Aya Nakamura avait d'ailleurs reçu le soutien du président de la République en personne.
De son côté, Le Canard enchaîné a récemment révélé dans un article que Céline Dion avait également été contactée pour se produire lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris. Selon les informations de l'hebdomadaire, elle se serait vu proposer un cachet de deux millions d'euros pour sa prestation. De son côté, Aya Nakamura toucherait un joli chèque de 700 000 euros. Des informations qui ont ensuite fait l'objet d'un démenti officiel.