Entre Élodie et Joachim, c'était une évidence. Les deux candidats de Mariés au premier regard 2020 (M6) compatibles à 78% ont été séduits au premier regard. Sans surprise, ils se sont unis devant leurs proches, ils étaient sur un petit nuage lors de la cérémonie et de leur première nuit ensemble. Ils n'en sont pas redescendus lors de leur voyage de noces au Maroc. Mais le coach sportif de 31 ans a eu quelques doutes la veille de leur retour en France.
"Je sens qu'Élodie se projette un peu plus sur la suite que moi. Ça me fait un peu peur parce que je ne suis pas quelqu'un qui me projette comme ça. Il ne faut pas trop s'emballer d'un coup", a expliqué Joachim. Des déclarations qui ont surpris certains téléspectateurs. Mardi 18 février, le jeune homme s'est donc expliqué sur Instagram. Il a partagé une photo sur laquelle il embrasse tendrement Élodie sur la bouche, un cliché pris lors de leur séjour au Maroc. "Nous deux, dans ce pays magnifique qu'est le Maroc ! Cette histoire folle, magique même, ces moments magiques qui ne font que s'enchaîner, même dans les rêves les plus fous, on ne s'imagine pas tant ! Alors oui, j'ai eu peur, peur que toutes ces belles choses se finissent, que ce rêve s'arrête. Les blessures du passé, le manque de confiance en moi ... Mais tu as été là et, par ta présence, nos sentiments grandissants, cette peur disparaît ! Qui n'a jamais eu peur de perdre la personne qu'il aime ?!", s'est-il justifié.
Joachim a ensuite organisé un live Instagram afin de répondre aux questions de ses abonnés. Et celle sur ses doutes est revenue. "Oui j'ai eu peur parce que tout est tellement beau, vrai et limpide depuis la mairie que j'avais peur que ça se finisse. Pour ceux qui ont vu l'émission depuis le début, vous avez vu que j'ai eu un passé un peu compliqué : j'étais obèse, on s'est moqué de moi, on m'a craché dessus, insulté. Donc quand les choses sont aussi belles comme avec Élodie, j'ai peur que ça se termine. Que je rentre chez moi, que j'ouvre les yeux et.... plus rien, que ce ne soit qu'un rêve", a-t-il donc déclaré. Mais il a admis que, s'il ne faut pas oublier d'où l'on vient, il ne faut pas que le passé "nous empêche d'avancer".