Journaliste judiciaire incontournable de la télévision belge, Julie Denayer a conquis le public français depuis son arrivée en 2019 dans l'émission Chroniques Criminelles diffusée sur TFX. Jolie brune mariée depuis 2015 à l'animateur belge de la RTBF, Adrien Devyver, la jeune femme vit pourtant des jours difficiles depuis qu'elle présente cette émission qui analyse et traite différentes affaires criminelles.
Interviewée par le magazine belge Telepro en janvier 2021, la journaliste confiait même avoir déjà été placée sous protection policière après avoir reçu des menaces. "J'étais sous protection policière ! J'ai vécu cela plutôt calmement à l'inverse de mon entourage qui était stressé. Pourtant, dans la vie privée, je suis une trouillarde. Ne me demandez pas de sauter en parachute ! Mais quand ça touche à mon travail, je fonce tête baissée et n'ai peur de rien" confiait la maman de Gaspard (né en juillet 2018).
Des menaces précises...
En 2019, celle qui officie en tant que Madame Justice pour la chaîne belge RTL-TVI dévoilait plus précisément le genre de menaces dont elle avait été victime. "J'ai déjà reçu une lettre avec une lame de rasoir, des menaces précises sur Facebook révélait-elle tout en ajoutant Ça ne me fait pas peur. En général, c'est la chaîne qui gère les rapports avec la police. Et si on vient m'embêter chez moi, je gère toute seule. À un moment, j'ai dû recevoir une protection policière pendant plusieurs semaines. C'était suite à un reportage dans Indices, une histoire familiale, pas une mafia quelconque. Ce n'est pas la seule fois où j'ai été menacée. J'ai déjà porté plainte et des dossiers ont été ouverts. Mais c'est cette fois-là que ça a été le plus loin."
Pour protéger sa famille, Julie a d'ailleurs fait le choix de ne jamais exposer le visage de son fils sur les réseaux sociaux ni de parler de son époux dans les médias. Une décision pas forcément partagée par son mari plus enclin à partager publiquement son bonheur en famille. "Adrien est un peu différent : il poste quelques photos de notre fils, de dos, sur Facebook par exemple. Moi, je n'ai pas envie de l'exposer, ni en photos, ni en paroles. (...) Je veux nous préserver" expliquait Julie. Une adepte de plus du fameux adage : "Pour vivre heureux, vivons cachés !"