Ce week-end du 24 et 25 mars 2018, Laura Smet a débuté le tournage de son tout premier court métrage. C'est une première pour l'actrice de 34 ans qui n'avait auparavant réaliser qu'un clip, To Let Myself Go, pour The Avener en 2015. Dans ce film, dont on ignore encore le titre, Laura Smet dirige sa mère, Nathalie Baye, et le jeune comédien Fabien Ducommun.
Après avoir posté une première photo du tournage la montrant en pleine discussion avec sa mère sur le plateau, Laura Smet a dévoilé dans sa story de nouvelles images. On l'y retrouve, grand sourire, découvrant son travail sur un moniteur. En légende, elle écrit ce message lourd de sens : "Il n'y a que ma passion qui me redonne l'espoir et le sourire. Merci à tous." Sa mère Nathalie Baye a également posté une photo la montrant près de Laura : "Deuxième jour de tournage avec ma réalisatrice... Laura, qui me bluffe !"
L'espoir et le sourire, ce n'est pas rien. Après avoir perdu son père en décembre, Laura Smet a eu la désagréable surprise de découvrir qu'il ne lui laissait rien d'autre que ce qu'elle avait déjà touché par le passé, elle est aussi écartée du droit moral sur son oeuvre. Avec son frère aîné, David Hallyday, la fille de Johnny Hallyday s'est donc lancée dans une procédure pour obtenir un droit de regard sur le dernier album de leur père (dont les dix chansons avaient été livrées à la maison de disques trois semaines avant son décès) mais aussi pour, à terme, contester le testament de Johnny. Aussi joyeux semble se dérouler ce tournage, durant lequel Laura Smet a reçu sur Instagram des messages de soutien de David Hallyday et de son ex-femme Estelle Lefébure mais aussi de Luc Besson, difficile d'oublier qu'en coulisses se joue une toute autre comédie.
Après avoir obtenu un renvoi, David Hallyday et Laura Smet affronteront de nouveau Laeticia le 30 mars lors d'une audience capitale au tribunal de grande instance de Nanterre. En attendant, l'avocat de Laeticia, Me Amir-Aslani, dénonce dans Paris Match une "campagne médiatique orchestrée, visant à dénigrer [sa] cliente et qui la fait souffrir. Ainsi que ses filles 'adoptées', ce que, indélicatement, leur assignation précise."