Figure désormais incontournable des médias, Léa Salamé a beaucoup bossé pour en arriver là et, si elle dit avoir encore "des choses à [se] prouver", force est de constater qu'elle est suffisamment installée pour avoir à réellement s'inquiéter. Une place de choix qu'elle a réussi à se faire tout en devenant maman. Aujourd'hui, elle doit toutefois trouver le bon équilibre entre ses casquettes.
"Je n'ai pas assez de temps pour mon fils [Gabriel, âgé de 2 ans et fruit de sa relation avec Raphaël Glucksmann, NDLR], et cela me ronge. Je pars tôt le matin, il ne me voit pas. Mais son pédiatre m'a rassurée : ce n'est pas la quantité, mais la qualité du temps passé avec mon enfant qui compte. De 18 à 20h, je m'occupe du bain, du dîner, de l'histoire et du coucher : ce sont les quatre choses que j'essaie de faire tous les soirs, en ayant si possible le portable fermé, sinon éloigné", confie-t-elle dans Gala. Léa Salamé ne s'en cache pas, allier vie pro et perso, ce n'est pas toujours facile. "J'essaie de faire de mon mieux ! Je rate déjà beaucoup de choses et je m'en veux pas mal !", dit-elle.
La journaliste de France 2 et France Inter, qui espère bien couvrir la prochaine élection présidentielle, doit aussi gérer le fait d'être devenue belle-mère ! En effet, son compagnon, le fondateur du mouvement Place publique, est déjà le papa d'un fils de 7 ans né d'une précédente relation. Entre Léa Salamé et le jeune garçon, une belle entente s'est installée. "Cela s'est fait progressivement. Aujourd'hui, c'est une relation presque aussi belle que celle avec mon fils", affirme-t-elle.
Thomas Montet
L'interview intégrale est à retrouver dans Gala, dans les kiosques le 14 mars 2019.